Un nouveau webzine consacré au vieillissement
Temps de lecture : 1 mn

A lire le Webzine Santé du conseil national de l'Ordre des médecins : "Vieillissement : le défi de la prise en charge".
En 2050, 5 millions de Français auront plus de 85 ans. Et parmi eux, 1 sur 5 sera en situation de dépendance, psychique ou physique, et aura besoin d'accompagnement au quotidien. Ce
Des médecins, des professionnels de santé, des aidants, des responsables d'associations, d'Ehpad... nous livrent leurs expériences et leurs conseils.
Décès de M. Vincent Lambert
Temps de lecture : 1 mn
Le Cnom, ayant appris avec émotion le décès de M. Vincent Lambert, souhaite exprimer toutes ses condoléances à sa famille et à ses proches.
Il espère que tous les personnels du Centre Hospitalier Universitaire de Reims pourront retrouver la sérénité nécessaire à l’exercice de leurs métiers.
La décision d’interrompre les soins prodigués à M. Vincent Lambert a été validée par la Justice à l’issue d’un long parcours et après épuisement des différentes voies de recours.
Respectueux des procédures en cours, le Conseil national de l’Ordre des médecins est tenu à la réserve quant à son expression publique.
Il tient à apporter aux médecins et à leurs équipes tout son soutien moral et confraternel dans les circonstances difficiles de leur exercice, telles que celles vécues lors de l’accompagnement de M. Vincent Lambert.
Vote du projet de loi «Ma Santé 2022" à l’Assemblée
Temps de lecture : 2 mn

L’Ordre des médecins engagé dans la mise en œuvre concrète de la réforme du système de santé.
Le Conseil national de l’Ordre des médecins salue l’adoption par l’Assemblée nationale du texte issu de la commission mixte paritaire, ce mercredi 10 juillet. Si l’Ordre y retrouve de nombreuses orientations importantes qu’il défend depuis plusieurs années, il appelle désormais à ce que le dialogue s’établisse pleinement dans le cadre de la préparation des ordonnances prévues par ce texte.
La loi votée solennellement aujourd’hui par les députés pose les fondations nécessaires à la transformation du système de santé attendue de tous. Parfois trop bref, ce texte reste toutefois au stade des intentions sur des points fondamentaux, voire structurels, renvoyant vers des ordonnances.
Les prochaines semaines revêtent dès lors une importance capitale. Si cette future loi n’est pas enrichie par le Gouvernement grâce au dialogue avec les acteurs de la santé, si elle ne répond pas aux inquiétudes et questions des médecins, cette réforme peut encore échouer malgré les mesures positives qu’elle contient.
L’Ordre s’inscrit dès lors pleinement dans le dialogue pour que réussisse cette réforme, pour l’avenir du système de santé.
Professionnalisation précoce des futurs médecins, territorialité et démocratie sanitaire par la déclinaison de plans locaux de santé, tous modes d’exercice confondus, sont des objectifs majeurs qui doivent désormais se traduire concrètement au plus près des besoins.
Le CNOM accompagnera sa mise en œuvre, sans sacrifier l’exigence et la vigilance qui sont la marque de son indépendance, et sera dans les années à venir l’observateur attentif du déploiement du plan « Ma Santé 2022 » dans les territoires.
« Le vote de cette loi est une avancée majeure mais nous restons dans l’attente des ordonnances à venir, affirme le Dr Patrick Bouet, Président de l’Ordre des médecins. Dans le cadre des discussions qui s’ouvrent, le Gouvernement pourra compter sur l’Ordre pour être le garant des attentes des médecins et la vigie de l’application effective dans les territoires au profit des patients ».
La loi votée solennellement aujourd’hui par les députés pose les fondations nécessaires à la transformation du système de santé attendue de tous. Parfois trop bref, ce texte reste toutefois au stade des intentions sur des points fondamentaux, voire structurels, renvoyant vers des ordonnances.
Les prochaines semaines revêtent dès lors une importance capitale. Si cette future loi n’est pas enrichie par le Gouvernement grâce au dialogue avec les acteurs de la santé, si elle ne répond pas aux inquiétudes et questions des médecins, cette réforme peut encore échouer malgré les mesures positives qu’elle contient.
L’Ordre s’inscrit dès lors pleinement dans le dialogue pour que réussisse cette réforme, pour l’avenir du système de santé.
Professionnalisation précoce des futurs médecins, territorialité et démocratie sanitaire par la déclinaison de plans locaux de santé, tous modes d’exercice confondus, sont des objectifs majeurs qui doivent désormais se traduire concrètement au plus près des besoins.
Le CNOM accompagnera sa mise en œuvre, sans sacrifier l’exigence et la vigilance qui sont la marque de son indépendance, et sera dans les années à venir l’observateur attentif du déploiement du plan « Ma Santé 2022 » dans les territoires.
« Le vote de cette loi est une avancée majeure mais nous restons dans l’attente des ordonnances à venir, affirme le Dr Patrick Bouet, Président de l’Ordre des médecins. Dans le cadre des discussions qui s’ouvrent, le Gouvernement pourra compter sur l’Ordre pour être le garant des attentes des médecins et la vigie de l’application effective dans les territoires au profit des patients ».
Newsletter de juillet 2019
Temps de lecture : 6 mn

Au sommaire de la newsletter : la conférence de presse du Dr Bouet réélu à la présidence du conseil national de l'Ordre des médecins.
À la une
Un troisième mandat pour aller plus loin et plus vite
Le 3 juillet, le Dr Patrick Bouet, président du Conseil national de l’Ordre des médecins qui a été réélu pour un troisième mandat le 26 juin dernier, a tenu une conférence de presse pour présenter sa feuille de route et répondre aux questions des journalistes.
« Vous avez aimé les deux premières saisons, vous allez adorer la troisième parce que nous allons faire encore plus vite et plus loin que ce que nous avons fait jusqu’à maintenant, a annoncé le Dr Bouet en introduction du point presse. Lors de ce troisième mandat, nous devons orienter de manière définitive l’action de l’Ordre des médecins et sa présence dans le monde de la santé. »
Le président a ensuite présenté ses trois principaux objectifs :
-
Le prolongement de la réforme. « Nous avons pesé de toute notre capacité à convaincre dans le cadre du débat parlementaire. Et puisque les textes de mise en application seront, selon la ministre, négociés avec l’ensemble des professionnels, nous comptons y participer de façon formelle. Nous serons particulièrement vigilants sur les aspects liés à l’urgence, à la territorialité et à la démocratie sanitaire. »
-
Un Ordre accompagnateur. « Nous allons continuer à développer cette logique d’accompagnement du parcours individuel des professionnels dès leur entrée à l’université. Il s’agit d’un accompagnement sur les exercices, sur la formation, sur la recertification, sur les difficultés professionnelles ou personnelles… Nous allons aussi travailler avec les conseils départementaux et régionaux pour améliorer la proximité de l’Ordre vis-à-vis des médecins. Nous allons enfin renforcer notre capacité à recevoir et à écouter les patients. »
- Un Ordre inscrit dans un environnement sociétal en mutation. « Nous allons porter un certain nombre de sujets – tels que la santé et l’environnement, la santé et le travail, la santé et l’alimentation – qui sont des questions qui ont un impact à la fois sur l’avenir de notre système de santé, sur les compétences professionnelles et sur les attentes de la population. Il faut donc que nous soyons présents pour pouvoir discuter avec nos interlocuteurs sur ces sujets. »
Le Dr Patrick Bouet a ensuite répondu aux questions des journalistes sur différents thèmes d’actualité.
-
L’homéopathie. « L’Ordre n’est pas compétent pour se situer dans le débat scientifique. Le gouvernement est actuellement dans la phase d’arbitrage. Ensuite, l’Ordre va se positionner sur le droit au titre, c’est-à-dire le droit d’apposer la mention ‘’Homéopathe’’ sur sa plaque : le Conseil national prendra une décision lors de la session du mois d’octobre. Quoi qu’il en soit, je rappelle que la suppression du droit au titre ne pourra être rétroactive, les médecins homéopathes déjà diplômés pourront garder la mention sur leur plaque.»
-
Les Communautés professionnelles territoriales de santé (CPTS). « Une clarification sur les contours des CPTS est nécessaire, sans quoi, on risque de finir par se voir imposer une norme structurelle. Ce que nous souhaitons, c’est un texte qui définisse les CPTS. Pour nous, elles doivent être construites à partir d’un plan local de santé défini avec l’ensemble des acteurs (professionnels de santé, usagers, politiques) afin que les CPTS soit organisées en adéquation avec les besoins et les objectifs de santé du territoire. C’est la condition pour qu’elles soient un succès. »
- Le stage de six mois obligatoire dans les territoires déficitaires pour les internes. « Nous avons une volonté très forte de professionnalisation des étudiants. Nous avons entendu leurs préoccupations et leur souhait de sortir de l’hôpital pour être dans les territoires et pour apprendre l’exercice ‘’en ville’’. Dans un certain nombre de régions, des expérimentations ont montré que lorsque l’on professionnalise précocement les étudiants dans un territoire, on a un taux d’installation supérieur. Nous en avons tiré deux conclusions : il faut mettre fin à l’aspect dérogatoire du DES de médecine générale. Toutes les autres spécialités se font en trois phases dont une de mise en autonomie. La médecine générale ne suit malheureusement pas ce schéma, donc nous prônons une quatrième année professionnalisante et en autonomie qui ne serait pas, de fait, une mise à disposition pour l’hôpital. Les parlementaires n’ont pas retenu cette option. Nous n’avons pas la quatrième année de médecine générale mais une obligation d’exercer durant six mois dans un territoire déficitaire. À notre sens, nous sommes très éloignés d’une logique de professionnalisation. »
Le chiffre du mois
56 conseillers nationaux de l’Ordre des médecins,
fortement renouvelés au mois de juin 2019. Pour la première fois, ces élections se sont déroulées de manière paritaire (binômes femme-homme).
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Exercice en multisite : modèles de déclaration préalable
Depuis le 23 mai 2019 et la modification deIndemnisation des victimes de l’amiante : informez vos patients
Dans un rapport publié le 27 juin 2019, Santé publique France dresse le bilan de 20 années de surveillance des cas de mésothéliome pleural, cancer de la plèvre survenant principalement après une exposition à l’amiante. Si l’étude rapporte que les mésothéliomes pleuraux sont toujours plus nombreux, elle met aussi en lumière un autre point. Aujourd’hui, près de 50% des personnes atteintes d’un mésothéliome ne sollicitent pas d’indemnisation auprès du Fonds d’indemnisation des victimes de l’amiante (FIVA). Pourtant, toute personne victime des effets de l’amiante - ou ayant droit d’une personne décédée - peut être indemnisée. Le FIVA invite les médecins traitants et généralistes à davantage informer leurs patients, estimant qu’ils ont « un rôle prépondérant à jouer (...) sur cette possibilité d’indemnisation. »+ d’infos :
Médecins n°62
Temps de lecture : 0 mn

L'homme malade de son environnement ; Soins programmés et continuité des soins ; Sécurité des médecins : des agressions toujours plus violentes.
Décision du Conseil d’Etat sur la situation de M. Vincent Lambert
Temps de lecture : 0 mn
Le Cnom rend public les observations demandées par le Conseil d’État en amont de la décision des Juges sur la situation de M. Vincent Lambert.
juillet 2019
Presse
Point presse du Dr Bouet
03 juillet 2019
Suite à sa réélection à la présidence du Conseil national de l'Ordre des médecins, le Dr Patrick Bouet évoquera les priorités de son troisième mandat.
octobre 2019
Vie de l'Ordre
Débat : Ma Santé 2022 : quel hôpital demain ?
15 octobre 2019
Pages
Élections au Conseil national de l’Ordre des médecins
Temps de lecture : 2 mn

Le Dr. Patrick Bouet réélu président du Conseil national de l'Ordre des médecins, à la tête d’une équipe largement renouvelée
Réuni ce matin en session plénière, le Conseil national de l’Ordre des médecins a élu son nouveau Bureau.
Le Dr. Patrick Bouet a été élu pour un troisième mandat. Elu à cette fonction en 2013, il avait été réélu en 2016.
Le Bureau du Conseil national a été profondément renouvelé. Ont été élus :
Secrétaire général : Dr. François Arnault
Trésorier : Dr. Walter Vorhauer
Vice-présidente : Dr. Marie-Pierre Glaviano-Ceccaldi
Vice-président : Dr. Jean-Marcel Mourgues
Vice-président : Dr. Gilles Munier
Vice-président : Pr. Serge Uzan
Présidente de la section Ethique et déontologie : Dr. Anne-Marie Trarieux
Président de la section Formation et compétences médicales : Pr. Robert Nicodème
Président de la section Exercice professionnel : Dr. François Simon
Président de la section Santé publique : Dr. Bruno Boyer
Délégué général aux relations internes : Dr. Jacques Morali
Délégué Général aux affaires européennes et internationales : Dr. Jean-François Rault
Délégué général aux données de santé et au numérique : Pr. Stéphane Oustric
Secrétaires généraux adjoints : Pr. Bernard Guerrier, Dr. Gérard Ichtertz, Dr. Pierre Maurice
L’élection du Bureau fait suite au renouvellement par moitié, sur le mode paritaire, du Conseil national de l’Ordre des médecins.
Le Conseil national est constitué de 56 membres élus par les conseillers départementaux de l’Ordre, auxquels s’ajoutent un membre désigné par l’Académie de médecine et un membre désigné par le Garde des Sceaux.
Voir la après les élections de juin 2019.
Le Dr. Patrick Bouet a été élu pour un troisième mandat. Elu à cette fonction en 2013, il avait été réélu en 2016.
Le Bureau du Conseil national a été profondément renouvelé. Ont été élus :
Secrétaire général : Dr. François Arnault
Trésorier : Dr. Walter Vorhauer
Vice-présidente : Dr. Marie-Pierre Glaviano-Ceccaldi
Vice-président : Dr. Jean-Marcel Mourgues
Vice-président : Dr. Gilles Munier
Vice-président : Pr. Serge Uzan
Présidente de la section Ethique et déontologie : Dr. Anne-Marie Trarieux
Président de la section Formation et compétences médicales : Pr. Robert Nicodème
Président de la section Exercice professionnel : Dr. François Simon
Président de la section Santé publique : Dr. Bruno Boyer
Délégué général aux relations internes : Dr. Jacques Morali
Délégué Général aux affaires européennes et internationales : Dr. Jean-François Rault
Délégué général aux données de santé et au numérique : Pr. Stéphane Oustric
Secrétaires généraux adjoints : Pr. Bernard Guerrier, Dr. Gérard Ichtertz, Dr. Pierre Maurice
L’élection du Bureau fait suite au renouvellement par moitié, sur le mode paritaire, du Conseil national de l’Ordre des médecins.
Le Conseil national est constitué de 56 membres élus par les conseillers départementaux de l’Ordre, auxquels s’ajoutent un membre désigné par l’Académie de médecine et un membre désigné par le Garde des Sceaux.
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Vieillissement : le défi de la prise en charge
Temps de lecture : 0 mn

Ce webzine du Conseil national de l'Ordre des médecins fait le point sur le vieillissement qui est un sujet social, économique, médical et politique.
Maisons de santé pluriprofessionnelles et déontologie médicale
Temps de lecture : 0 mn
La maison de santé pluriprofessionnelle est une personne morale constituée entre des professionnels médicaux, auxiliaires médicaux ou pharmaciens.