Patients radicalisés
Temps de lecture : 2 mn
À l'attention des médecins confrontés à des patients dont des comportements relèvent de la radicalisation.
De nombreux médecins sont désormais confrontés à des patients ou interlocuteurs manifestant des comportements relevant de la radicalisation et ne savent pas toujours comment gérer leur prise en charge.
Des journées de formation sur la prévention de la radicalisation ont été organisées à plusieurs reprises par le ministère de l’intérieur depuis juin 2014, à plus de 2 000 agents de l’Etat, des collectivités territoriales et à d’autres acteurs concernés par cette question.
Afin de faire bénéficier au plus grand nombre des enseignements de ces journées de formation, le Conseil national de l’Ordre des médecins rend accessibles plusieurs documents qui en sont issus :
-
des journées de formation pour les médecins en exercice. -
réalisé par le Comité interministériel de la prévention de la délinquance, qui apporte des éclairages historiques sur le phénomène de radicalisation et sur la réponse publique et juridique à celui-ci. De nombreux organismes sont intervenus dans la conception de ce kit : Centre de prévention contre les dérives sectaires liées à l’Islam, Miviludes, Sciences Po, etc. - Une présentation plus spécifique du
, qui peut concerner les enfants en danger ou en risque de l’être : enfants/jeunes majeurs dans des processus d’emprise ; enfants dont les parents sont dans des processus d’emprise/de radicalisation ; famille mise à mal par la radicalisation d’un enfant.
Professionnels de santé en action pour le climat
Temps de lecture : 1 mn
L'Ordre des médecins organise un évènement dédié à la santé et au climat en marge des négociations de la COP21.
Le Conseil national de l'Ordre des médecins, en collaboration avec l’Alliance Européenne pour la Santé et l’Environnement (HEAL) et l’Association Médicale Mondiale (AMM) et la Fédération Internationale des Associations des Etudiants en Médecine, organise un événement dédié à la santé et au climat en marge des négociations de la COP21 le 4 décembre 2015 de 9h30 à 12h30 au siège du Conseil national de l'Ordre des médecins.
Ce sera une opportunité de réfléchir sur les professionnels de santé et leur rôle pour une énergie saine et sur les conséquences du changement climatique sur la santé.
Il s’agit d’un événement sur invitation mais il sera diffusé en direct sur le compte twitter @CNOM_Europe et .
Ce sera une opportunité de réfléchir sur les professionnels de santé et leur rôle pour une énergie saine et sur les conséquences du changement climatique sur la santé.
Il s’agit d’un événement sur invitation mais il sera diffusé en direct sur le compte twitter @CNOM_Europe et .
Temps de lecture : 5 mn

Une prescription de médicaments ou de traitements engage la responsabilité déontologique, civile et pénale du médecin, des précautions sont à prendre.
Votre responsabilité de prescription
SelonUne responsabilité déontologique
Vous n’avez pas d’obligation de résultat mais une obligation de moyens. Au moment de la rédaction deLe développement de l’information en santé, en particulier sur Internet, peut conduire vos patients à réclamer la prescription d'un médicament ou d'un traitement. Toutefois, une prescription de complaisance est répréhensible. Votre patient pourrait être le premier à en souffrir, à le regretter, voire à vous le reprocher. Il est de votre responsabilité d'expliquer pourquoi ce médicament ou ce traitement s'applique ou non à son état de santé.
Une responsabilité civile et pénale
C’est la responsabilité qui résulte des notions de dommage et réparation, et qui pourra vous amener à défendre vos prescriptions devant des tribunaux. Dans ce cas, le dommage doit être prouvé par le patient qui s’estime victime. Quant à vous, vous devez apporter la preuve que vous aviez bien informé votre patient des risques de la prescription.En créant l
Les prescriptions particulières
En général, vous êtes invités à prescrire des médicaments génériques. La jurisprudence européenne a confirmé que les autorités nationales chargées de la santé publique pouvaient favoriser la prescription par les médecins de médicaments génériques.Certains médicaments sont soumis à des conditions de prescription et de délivrance particulières en raison des contraintes et des risques de leur utilisation, de leur degré d’innovation ou pour d’autres motifs de santé publique. Ils ne peuvent pas être prescrits par tous les médecins, même s'ils sont justifiés par l'état du patient. Ils sont classés en cinq catégories (
- médicament réservé à l’usage hospitalier ;
- médicament à prescription hospitalière ;
- médicament à prescription initiale hospitalière ;
- médicament à prescription réservée à certains médecins spécialistes ;
- médicament nécessitant une surveillance particulière pendant le traitement.
L'autorisation de mise sur le marché (AMM) établit le classement de ces médicaments, précise dans quelles indications ils peuvent être prescrits et indique la qualité des prescripteurs. Les conditions de remboursement ou de prise en charge de ces médicaments par les organismes d’assurance maladie sont établies par arrêté ministériel.
Les prescriptions de médicaments non autorisés
SelonToutefois, vous pouvez effectuer des prescriptions hors autorisation de mise sur le marché (AMM) en l’absence de médicaments appropriés à l’état du patient disposant d’une AMM ou d’une autorisation temporaire d’utilisation (
- le mentionner expressément sur l’ordonnance et dans le dossier médical du patient ;
- informer le patient du défaut d’AMM et de l’absence d’alternative médicamenteuse appropriée ;
- l’informer des risques et bénéfices attendus du médicament et des conditions de sa prise en charge par l’assurance maladie.
À titre exceptionnel,
Signaler un effet indésirable
Vous avez l’obligation de signaler tout effet indésirable suspecté d’être dû à un médicament au centre régional de pharmacovigilance. La déclaration d’un effet indésirable peut aussi se faire sur leQuelles informations doit comporter le signalement ?
- une source identifiable (le notificateur) ;
- des informations sur le patient concerné (sexe, âge, poids, taille, département de résidence, antécédents, profession) ;
- les médicaments pris (dénomination, numéro de lot, posologie, voies d’administration, date de début et de fin de traitement, indication) ;
- l’effet indésirable (description, date d’apparition, évolution) ;
- des copies de compte rendu d’hospitalisation, de courriers médicaux et d’examens complémentaires.
Le notificateur peut être recontacté si un suivi est nécessaire ou pour obtenir des informations complémentaires. La déclaration initiale peut être complétée à tout moment, si vous avez obtenu de nouvelles informations.
Vente sur Internet de bons d'achat : jugement du TGI
Temps de lecture : 1 mn
Vente sur Internet de bons d’achat à faire valoir sur des prestations incluant l’exécution d’actes médicaux.
Quelle place pour les médecines complémentaires ?
Temps de lecture : 1 mn
L'Ordre des médecins consacre un webzine aux médecines alternatives et complémentaires.
Alors qu’elles connaissent un véritable engouement auprès du grand public, et suscitent de vifs débats au sein du corps médical, les médecines alternatives et complémentaires sont à la une de notre dernier webzine.
Acupuncture, ostéopathie, hypnose ou encore homéopathie, que peuvent apporter ces pratiques aux patients ? Quelle place leur accorder ? Et dans quel cadre ? Autant de questions abordées avec l’éclairage d’une vingtaine d’experts et professionnels de santé.
de l'Ordre des médecins consacré aux médecines complémentaires.
Acupuncture, ostéopathie, hypnose ou encore homéopathie, que peuvent apporter ces pratiques aux patients ? Quelle place leur accorder ? Et dans quel cadre ? Autant de questions abordées avec l’éclairage d’une vingtaine d’experts et professionnels de santé.
Fortes chaleurs : recommandations de la DGS
Temps de lecture : 1 mn
La Direction générale de la santé publie ses recommandations en cas de fortes chaleurs.
En ce début de période estivale et en prévision des épisodes de chaleur à venir, la Direction générale de la santé rappelle les mais surtout par les personnes fragiles les plus à risques (personnes âgées de plus de 65 ans, personnes handicapées ou malades à domicile, personnes dépendantes, femmes enceintes…) afin de lutter au mieux contre les conséquences de la chaleur.
La plateforme téléphonique Canicule info service vous informe également au 0 800 06 66 66 (appel gratuit depuis un poste fixe), tous les jours de 09 h à 19 h. Elle est activée dès le premier épisode de chaleur.
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En savoir plus : http://inpes.santepubliquefrance.fr.
La plateforme téléphonique Canicule info service vous informe également au 0 800 06 66 66 (appel gratuit depuis un poste fixe), tous les jours de 09 h à 19 h. Elle est activée dès le premier épisode de chaleur.
En savoir plus : http://inpes.santepubliquefrance.fr.
Droit des patients et indemnisation des accidents médicaux
Temps de lecture : 1 mn
Brochure élaborée conjointement par l'Ordre des médecins et l'Office national d'indemnisation des accidents médicaux.
L'Office national d'indemnisation des accidents médicaux ( ) vient de publier une brochure " ".
Le Conseil national de l'Ordre des médecins a participé à l'élaboration de ce document.
Les patients qui estiment avoir été victimes, de la part d'un établissement ou d'un professionnel de santé, d'un dommage ou d'un comportement portant atteinte à ses droits, trouveront dans cet ouvrage les différentes voies de recours possible.
"Droit des patients et indemnisation des accidents médicaux".
Le Conseil national de l'Ordre des médecins a participé à l'élaboration de ce document.
Les patients qui estiment avoir été victimes, de la part d'un établissement ou d'un professionnel de santé, d'un dommage ou d'un comportement portant atteinte à ses droits, trouveront dans cet ouvrage les différentes voies de recours possible.
Base de jurisprudence ordinale
Temps de lecture : 1 mn
Une nouvelle version de la base de jurisprudence de l’Ordre des médecins vient d’être mise en ligne.
La base de jurisprudence de l'Ordre des médecins vous permet d’accéder aux décisions rendues :
- Par la Chambre disciplinaire nationale de l’Ordre des médecins ;
- Par la Section des assurances sociales du Conseil national de l’Ordre des médecins ;
- Par les Instances administratives de l’Ordre : formation restreinte ou conseil national ;
- En recours contre les décisions ordinales: Conseil d’Etat, Cour administrative d’appel, Tribunal administratif.