Au service des médecins dans l’intérêt des patients

Guide pratique sur la protection des données personnelles

Temps de lecture : 0 mn
Ce guide pratique a été élaboré et rédigé conjointement par le Conseil national de l'Ordre des médecins et la Cnil.

Pour l'avenir de la santé : de la grande consultation aux propositions

Temps de lecture : 0 mn
L’Ordre des médecins présente 10 propositions opérationnelles en réponse aux nombreux dysfonctionnements de notre système de santé.

Le médecin dans la société de l'information et de la communication

Temps de lecture : 0 mn
Le Conseil national de l'Ordre des médecins rend publiques ses réflexions déontologiques relatives à l’information publique et la publicité.

Le secret médical dans l’exercice quotidien

Temps de lecture : 1 mn
Débat de l'Ordre sur le secret
L'Ordre des médecins a organisé un débat sur le secret médical dans l'exercice quotidien de la médecine.
Le secret médical est au coeur de la relation de confiance avec le patient.

Il se trouve pourtant régulièrement fragilisé et les situations particulières sont nombreuses. C’est pourquoi l'Ordre a choisi d'organiser un débat sur ce sujet  pour répondre à différentes interrogations :

Comment discerner l’intérêt du patient dans diverses circonstances ? Comment se répondre entre médecins de divers modes et statuts d’exercice ? Comment concilier le respect du secret lorsque se créé un conflit éthique entre l’obligation de le respecter et un risque collectif ? Comment s’applique le secret médical et la recherche scientifique à partir des dossiers ?

Consultez le compte-rendu du débat sous ce lien

Améliorer l'accès aux soins : l'énergie des territoires

Temps de lecture : 1 mn
Débat de l'Ordre
L’Ordre des médecins a organisé un débat pour mettre en valeur les initiatives développées par les médecins dans les territoires.
Cet événement s'inscrit dans la continuité de l'Observatoire des initiatives réussies dans les territoires créé en début d'année.

Lire le compte rendu de ce débat auquel ont participé des médecins porteurs d'intiatives, des responsables politiques, la rapporteure générale au Conseil stratégique de l'innovation en santé et le Doyen de la Faculté de médecine de Tours.

Consultez le compte-rendu du débat sous ce lien .  

Et l'intégralité du débat en vidéo : 
 

Quelle solidarité pour les soignants ?

Temps de lecture : 2 mn
Débat de l'Ordre
L'Ordre des médecins a organisé un débat sur la souffrance croissante des professionnels de santé et la solidarité au sein du corps médical.
Chaque semaine ou presque, l’actualité fait état de drames touchant des professionnels de santé, dont la souffrance s’exprime de plus en plus.

Dans ce contexte, l’Ordre a organisé un débat le 10 avril 2018 intitulé : "Quelle solidarité pour les soignants ?". Les échanges ont notamment porté sur la souffrance croissante du corps médical et sur les enjeux de santé publique qu’elle soulève.

Six intervenants d’horizons différents – tous reconnus pour leur expertise dans le domaine médical – ont partagé leur analyse pendant plus de deux heures, avant d’échanger avec le public.

Etaient présents :

Rachel BOCHER, Présidente de L'Intersyndicat national des praticiens hospitaliers (INPH), Jean Baptiste BONNET, Président de l’InterSyndicale nationale des internes (ISNI), Patrick CHAMBOREDON, Président de l’Ordre national des Infirmiers, Eric GALAM, professeur des universités à l’UFR Paris VII, responsable du DIU « Soigner les soignants », Donata MARRA, psychiatre, spécialisée dans les risques psychosociaux chez les étudiants en médecine à Paris VI, et chargée de mission interministérielle par Agnès Buzyn, Ministre des Solidarités et de la Santé, et Frédérique Vidal, Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Nicolas REVEL, Directeur Général de la CNAMTS.

Consultez le compte-rendu du débat sous ce lien

Regardez l'intégralité du débat en vidéo : 

 

Débat sur la médecine du futur

Temps de lecture : 2 mn
Débat de l'Ordre
L'Ordre des médecins a organisé un débat sur le thème "Médecins et patients dans le monde des data, des algorithmes et de l'IA".
À l’occasion de la parution de son livre blanc et de ses recommandations "Médecins et patients dans le monde des data, des algorithmes et de l’intelligence artificielle", l'Ordre des médecins a organisé un débat pour poursuivre les réflexions sur le sujet.

Quelle sera la place du médecin demain ? Comment concilier éthique et innovation ? Comment protéger les professionnels et les patients ?

Autant de questions abordées par les personnalités présentes :

Victor Demiaux, conseiller de la Présidente de la CNIL, Laurence Devilliers, professeure en informatique à Paris Sorbonne, Jean Gabriel Ganascia, professeur à Sorbonne Université et président du comité d'éthique du CNRS, Magali Léo, de l’association Renaloo, Olivier Palombi, de la Conférence des doyens des facultés de médecine, Dominique Polton, présidente de l’Institut national des données de santé, le Pr Guy Vallancien de l’Académie nationale de médecine, ainsi que le Dr Jacques Lucas, vice-président du Conseil national de l'Ordre des médecins, délégué général au numérique et le Pr Serge Uzan, vice-président santé de Sorbonne Université, conseiller national de l’Ordre des médecins.

Retrouvez les interviews des personnalités présentes lors de ce débat et l'intégralité des échanges en vidéo .

Consultez le compte-rendu de ce débat sous ce lien

Lire le livre blanc publié par l'Ordre des médecins  "Médecins et patients dans le monde des data, des algorithmes et de l’intelligence artificielle". 

Accès aux soins : les territoires ont des idées

Temps de lecture : 1 mn
Débat de l'Ordre
L'Ordre des médecins a organisé un débat sur l'accès aux soins dans les territoires.
La présentation du rapport  "Améliorer l’offre de soins : initiatives réussies dans les territoires",  a été suivie par un Débat de l’Ordre, moment d’échange sur les réponses concrètes à apporter au défi de l’accès aux soins, l’importance des engagements réalisés par les professionnels et l’inévitable échec des réponses déconnectées des particularités locales.

Ce débat a réuni les intervenants suivants :
  • François ARNAULT, délégué général aux relations internes du CNOM
  • Cécile COURRÈGES, directrice générale de l’ARS des Pays de Loire
  • Claude NEVEUR, président du Conseil régional du Centre Val de Loire de l’Ordre des médecins
  • Bruno FAULCONNIER, directeur de l’Hôpital de Niort
  • Céline FAURIE-GAUTHIER, conseillère municipale de Lyon, déléguée aux hôpitaux, à la prévention et à la santé.
Consultez le compte-rendu du débat sous ce lien

Santé des étudiants et jeunes médecins : des résultats inquiétants

Temps de lecture : 5 mn
Le conseil national de l’Ordre des médecins publie les résultats d’une enquête inédite sur la santé des étudiants en médecine et des jeunes médecins.
Le conseil national de l’Ordre des médecins publie aujourd’hui les résultats d’une enquête inédite sur la santé  des étudiants en médecine et des jeunes médecins. Près de 8 000 étudiants et jeunes médecins y ont répondu. 

Les résultats de cette enquête traduisent l’expression d’une forme de souffrance, et ce notamment en second cycle. 

 
La commission jeunes médecins du Conseil national de l’Ordre des médecins, présidée par le Dr. Jean-Marcel Mourgues, a mené en partenariat avec les principales structures représentatives des étudiants en médecine et jeunes médecins une enquête inédite en France tant par son sujet que par son ampleur, puisque 7 858 étudiants et jeunes médecins y ont répondu.

Cette enquête permet de dresser plusieurs constats sur la santé des étudiants et jeunes médecins, dont la souffrance est avérée. Ainsi, près du quart des répondants évalue leur état de santé comme étant moyen ou mauvais, et 14% des étudiants et jeunes médecins déclarent avoir déjà eu des idées suicidaires. Ce constat peut inquiéter, et ce d’autant plus que les étudiants et jeunes médecins sont peu suivis par la médecine du travail et universitaire, et qu’ils ne semblent consulter que rarement des médecins généralistes.

Ressort également de cette étude un appel quasi-unanime à un rôle renforcé de l’Ordre, 92% des répondants déclarant que l’entraide vis-à-vis des jeunes médecins devait être une mission de l’Ordre. Cette attente, considérable par son ampleur, incite l’Ordre à une réflexion sans délai sur l’instauration d’un réel compagnonnage dans l’apprentissage du métier.

Plus largement, les multiples réflexions issues de cette enquête sans précédent devront s’inscrire dans le cadre plus large des propositions de l’Ordre pour l’avenir de la santé, telles qu’exposées dans un Livre blanc publié en janvier 2016. Plusieurs des propositions du Livre blanc avaient en effet trait à la formation et pourraient permettre de répondre en partie aux défis mis en lumière par l’enquête sur la santé des jeunes médecins, en permettant notamment de faire découvrir précocement l’exercice de la médecine et de lever l’angoisse de l’inconnu. L’Ordre propose ainsi de régionaliser la formation initiale en transformant les ECN en épreuve classante inter-régionale, et de renforcer la professionnalisation du second cycle.

Cette étude ambitieuse porte uniquement sur les étudiants en médecine et les jeunes médecins. Si ses résultats sont riches d’enseignements, une démarche comparative portant sur d’autres populations étudiantes soumises au stress et aux angoisses propres à ces périodes de vie, à l’instar des élèves de classes préparatoires aux Grandes Ecoles, pourrait encore l’enrichir en permettant d’identifier, le cas échéant, les difficultés propres aux étudiants en médecine et jeunes médecins.

Dans le détail, voici les principaux enseignements de l’enquête menée auprès des étudiants et des jeunes médecins :

Un quart des répondants déclare  un état de santé moyen  ou mauvais . Cette souffrance atteint son paroxysme en second cycle : 30,8% des étudiants de second cycle déclarent ainsi un état de santé moyen mauvais, contre 24,2% pour l’ensemble de la population interrogée.
14% des répondants ont déclaré avoir déjà eu des idées suicidaires. Ils sont 16% en second cycle, 14% en 3e cycle, et 12% en fin de cursus. Parmi les 578 répondants ayant déclaré être en mauvaise ou moyenne santé et avoir eu des idées suicidaires, 54,8% vivent seuls, et 39,2% en couple. Parmi les étudiants ou jeunes médecins ayant déclaré avoir eu des idées suicidaires, on constate par ailleurs un usage plus important d’anxiolytiques, 30% d’entre eux déclarant en consommer souvent ou parfois.

La médecine du travail et la médecine universitaire restent trop absentes de la surveillance et de la prévention des étudiants et jeunes médecins. Ainsi, seuls 36% des étudiants ou jeunes médecins ont rencontré la médecine du travail ou la médecine universitaire au cours des deux dernières années. Par ailleurs, plus l’étudiant évolue dans sa formation, moins il rencontre la médecine du travail ou la médecine universitaire : les post-internats et jeunes professionnels ne sont que 22% à avoir rencontré la médecine du travail ou la médecine universitaire  au cours des deux dernières années, contre 47% des étudiants en second cycle. Paradoxalement, alors que ces derniers sont près d’un sur deux à avoir rencontré la médecine du travail ou la médecine universitaire, il s’agit du groupe qui se déclare comme étant celui en moins bonne santé.

Malgré une Directive européenne sur le temps de travail des internes, le temps de travail déclaré reste très majoritairement supérieur à 48 heures hebdomadaires. 39,95% des répondants déclarent travailler entre 48 et 60 heures, 16,04% entre 60 et 70 heures, et 8,65% plus de 70 heures par semaine. Or le lien entre le temps de travail et la qualité de l’état de santé est puissant, quelles que soient les cohortes examinées.

Les jeunes médecins ne semblent malgré tout pas consulter de médecins généralistes. Interrogés sur leurs consultations d’un médecin généraliste au cours des douze mois précédant l’enquête, seul un tiers des participants a répondu à la question, et la réponse était largement négative : 68% des participants ayant répondu à cette question n’avaient pas consulté de médecins généralistes au cours des douze derniers mois, une proportion qui grimpe à 73% chez les répondants en 3e cycle et à 78% chez les étudiants en fin de cursus. Parmi les motifs avancés pour expliquer l’absence de consultation, 39% des répondants déclaraient n’en avoir "pas le temps", et 15% qu’ils optaient pour une "prise en charge personnelle. "

Pour les cas les plus sévères, lorsqu’un étudiant ou un jeune médecin est dans l’incapacité avérée d’exercer la profession et/ou la spécialité à laquelle il se destinait, 95% des étudiants et jeunes médecins appellent de leurs vœux la création d’un processus de requalification ou de reprofessionnalisation.  

Accessibilité des locaux professionnels

Temps de lecture : 1 mn
Il n'existe aucune agence en charge officielle de la gestion de l'accessibilité des locaux de santé.
L’Ordre attire votre attention sur le fait qu’il n’existe aucune agence officielle en charge de la gestion de l’accessibilité des locaux professionnels. En conséquence vous n'êtes pas tenu de répondre aux sollicitations de sociétés commerciales utilisant une dénomination pouvant prêter à confusion avec une agence officielle.

Pages