Réaction de l'Ordre des médecins au livre de M. Winckler
Temps de lecture : 2 mn
L’Ordre des médecins regrette que Martin Winckler ait fait le choix de la caricature et de l’amalgame pour assurer la publicité de ses écrits.
L’Ordre défendra l’engagement quotidien des médecins, et condamnera toute tentative d’altérer le lien de confiance très fort qui unit nos concitoyens à leur médecin.
La thèse soutenue par Martin Winckler vise en effet à réduire l’ensemble de la profession médicale à des maltraitants. Ce constat est une aberration contredite par les résultats de la grande consultation menée en 2015 par l’Ordre auprès des patients et des médecins :
La relation de confiance singulière entre le médecin et le patient est le pilier sur lequel se fondent la médecine française et le code de déontologie. Cette relation de confiance est jugée satisfaisante par la très grande majorité des Français.
Comme toute profession, la profession médicale n’est pas épargnée par les dérives de certains professionnels. Même si ces cas restent extrêmement rares, l’Ordre des médecins condamne fermement ces dérives et invite les patients à lui signaler toute situation de maltraitance.
En tant que garant de la déontologie médicale, l’Ordre des médecins est entièrement mobilisé pour assurer la qualité des soins aux patients sur l’ensemble du territoire national.
La thèse soutenue par Martin Winckler vise en effet à réduire l’ensemble de la profession médicale à des maltraitants. Ce constat est une aberration contredite par les résultats de la grande consultation menée en 2015 par l’Ordre auprès des patients et des médecins :
- 97% des patients disent avoir une "bonne relation" avec leur médecin traitant, 95% avec les médecins libéraux et 91% avec les hospitaliers.
- 94% des patients estiment "qu’ils comprennent ce que le médecin leur explique", 87% affirment que "le médecin consulté les a écoutés avec attention" et 87% que "le médecin consulté a compris leurs problèmes."
La relation de confiance singulière entre le médecin et le patient est le pilier sur lequel se fondent la médecine française et le code de déontologie. Cette relation de confiance est jugée satisfaisante par la très grande majorité des Français.
Comme toute profession, la profession médicale n’est pas épargnée par les dérives de certains professionnels. Même si ces cas restent extrêmement rares, l’Ordre des médecins condamne fermement ces dérives et invite les patients à lui signaler toute situation de maltraitance.
En tant que garant de la déontologie médicale, l’Ordre des médecins est entièrement mobilisé pour assurer la qualité des soins aux patients sur l’ensemble du territoire national.
Fin de vie : les recommandations de l'Ordre respectées
Temps de lecture : 2 mn
L’Ordre des médecins se félicite de la prise en compte de l’ensemble de ses recommandations sur les problématiques de fin de vie.
Dans le cadre de la loi Claeys-Leonetti adoptée le 2 février 2016, deux décrets d’application et un arrêté ont été publiés au Journal officiel le vendredi 5 août 2016 pour préciser les droits des personnes en fin de vie.
L’Ordre des médecins se félicite de la prise en compte de l’ensemble de ses recommandations et en particulier celles sur la rédaction de
Le premier décret précise en effet les conditions dans lesquelles pourront être décidés l'arrêt des traitements et la mise en œuvre de la sédation profonde et continue jusqu'au décès de la personne. Le second décret fixe les critères de validité des directives anticipées, et leur accorde un caractère imposable et non plus uniquement consultatif, en dehors des cas exceptionnels prévus par la loi.
L’Ordre des médecins rappelle l’enjeu de sensibilisation des professionnels de santé et du public sur l’importance du respect de la volonté de la personne dans les limites de la loi et de la rédaction des directives anticipées. Fortement impliqué sur l’évolution de la loi sur la fin de vie, l’Ordre des médecins jouera pleinement son rôle dans l’organisation de la campagne d’information prévue en fin d’année par le gouvernement.
En savoir plus :
-
modifiant le code de déontologie médicale et relatif aux procédures collégiales et au recours à la sédation profonde et continue jusqu'au décès prévus par la loi n° 2016-87 du 2 février 2016 créant de nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie -
relatif aux directives anticipées prévues par la loi n° 2016-87 du 2 février 2016 créant de nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie -
relatif au modèle de directives anticipées prévu à l'article L. 1111-11 du code de la santé publique
Le changement climatique, une question de santé publique
Temps de lecture : 4 mn
À l'occasion de la Conférence mondiale sur la santé et le climat, l'Ordre des médecins rappelle le rôle essentiel des professionnels de santé.
La deuxième Conférence mondiale sur la santé et le climat "Créer des sociétés plus saines" grâce à la mise en œuvre de l’Accord de Paris s’est tenue du 7 au 8 juillet 2016 à Paris. L’occasion pour l’Association médicale mondiale (AMM), l'Ordre des médecins et la Fédération internationale des associations d'étudiants en médecine (IFMSA) de réitérer le rôle essentiel des médecins contre les effets néfastes du changement climatique sur la santé.
À la conférence de Paris (COP21) en décembre 2015, la santé a émergé au centre des débats sur le changement climatique. La prochaine étape sera la Conférence des Parties à Marrakech (COP22) qui mettra en avant le rôle crucial des médecins pour répondre aux défis du changement climatique grâce notamment au travail continu de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et du gouvernement Français pour mettre la santé au premier plan des discussions climatiques.
"Les médecins ont la responsabilité éthique de donner l’alerte et de conseiller les décideurs au niveau local, national et international au sujet des déterminants sociaux de la santé incluant les conséquences du changement climatique en identifiant les meilleures solutions permettant de relever ces défis", rappelle Sir Michael Marmot, Président de l’Association Médicale Mondiale.
Les médecins appellent les gouvernements à :
L’AMM, le Conseil national de l'Ordre des médecins et l´IFMSA saluent présentées au Gouvernement Marocain, futur Présidence de la COP22, lors de la clôture de la Conférence: en particulier, les recommandations sur le développement de la capacité des professionnels de santé pour répondre aux risques induits par le changement climatique, sur la coordination d’une approche multisectorielle et sur la fourniture de l’assistance technique aux gouvernements nationaux et enfin, d’assurer un financement adéquat pour le renforcement des systèmes de santé.
"Selon nous, les professionnels de santé, les étudiants en médecine et les jeunes doivent faire face ensemble aux défis posés par le changement climatique sur la santé et doivent se saisir et recevoir des opportunités et des ressources pour apprendre et agir contre le changement climatique", rappelle Karim Abu Zied - Président de l’IFMSA.
Nos organisations sont engagées dans la formation des professions de santé sur la problématique du changement climatique, par exemple en développant des initiatives telles que le Manuel de formation sur le climat et la santé, le développement de ressources comme , ou encore comme la recherche sur le changement climatique à travers l' ainsi que ses groupes de travail dédiés à la santé et au climat.
Le Dr Patrick Bouet, Président de l'Ordre des médecins, déclare que "le changement climatique est avant tout une question de santé publique. Les médecins sont en première ligne pour répondre aux dommages liés aux bouleversements climatiques. Nous occupons une place privilégiée et avons le devoir moral de protéger et de favoriser la santé de la population."
À la conférence de Paris (COP21) en décembre 2015, la santé a émergé au centre des débats sur le changement climatique. La prochaine étape sera la Conférence des Parties à Marrakech (COP22) qui mettra en avant le rôle crucial des médecins pour répondre aux défis du changement climatique grâce notamment au travail continu de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et du gouvernement Français pour mettre la santé au premier plan des discussions climatiques.
"Les médecins ont la responsabilité éthique de donner l’alerte et de conseiller les décideurs au niveau local, national et international au sujet des déterminants sociaux de la santé incluant les conséquences du changement climatique en identifiant les meilleures solutions permettant de relever ces défis", rappelle Sir Michael Marmot, Président de l’Association Médicale Mondiale.
Les médecins appellent les gouvernements à :
- réduire le changement climatique, reconnaître les avantages corrélatifs cruciaux;
- s’adapter aux impacts du changement climatique sur la santé en incluant l’investissement dans les systèmes de soins de santé;
- développer un cadre relatif aux pertes et préjudices liés aux inégalités en santé conséquences du changement climatique;
- engager le secteur de la santé dans la mise en œuvre et la révision des niveaux d’engagements nationaux.
L’AMM, le Conseil national de l'Ordre des médecins et l´IFMSA saluent
"Selon nous, les professionnels de santé, les étudiants en médecine et les jeunes doivent faire face ensemble aux défis posés par le changement climatique sur la santé et doivent se saisir et recevoir des opportunités et des ressources pour apprendre et agir contre le changement climatique", rappelle Karim Abu Zied - Président de l’IFMSA.
Nos organisations sont engagées dans la formation des professions de santé sur la problématique du changement climatique, par exemple en développant des initiatives telles que le Manuel de formation sur le climat et la santé, le développement de ressources comme , ou encore comme la recherche sur le changement climatique à travers l'
Le Dr Patrick Bouet, Président de l'Ordre des médecins, déclare que "le changement climatique est avant tout une question de santé publique. Les médecins sont en première ligne pour répondre aux dommages liés aux bouleversements climatiques. Nous occupons une place privilégiée et avons le devoir moral de protéger et de favoriser la santé de la population."
L’Association Médicale Mondiale (AMM) est la fédération mondiale des Associations Médicales Nationales représentant des millions de médecins dans le monde. Agissant pour le compte des patients et des médecins, l’AMM s’efforce d’atteindre pour tous les individus les plus hautes normes possibles dans le domaine des soins médicaux, de l’éthique, de l’éducation et des droits humains en lien avec la santé. http://www.wma.net/ Le Conseil national de l'Ordre des médecins est un organisme privé chargée d’une mission de service public qui représente l’ensemble des médecins. "Au service des médecins, dans l’intérêt du patient". Il veille au respect des principes déontologiques et de compétence. Il accomplit sa mission par l’intermédiaire des Conseils départementaux, régionaux et du Conseil national. http://www.conseil-national.medecin.fr/ La Fédération internationale des associations d'étudiants en médecine (IFMSA) fondée en 1951, est l’une des plus anciennes et grandes organisations gérées par des étudiants. Elle a un rôle de représentation, de coordination et s’implique quotidiennement via un réseau motivé de 1,3 millions d’étudiants en médecine et de 129 organisations membres nationales dans 121 pays. http://ifmsa.org/ |
Médecins n°59
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Quelle recertification pour les médecins ? - Le projet de réforme du système de santé " Ma santé 2022", des paroles aux actes.
Patrick Bouet réélu à présidence de l'Ordre des médecins
Temps de lecture : 4 mn
Renouvelé pour un deuxième mandat, le président de l’Ordre des médecins Dr. Patrick Bouet présente sa feuille de route.
Le Conseil national de l’Ordre des médecins a largement réélu le Dr. Patrick Bouet à la présidence de l’Ordre des médecins. À la suite de ce renouvellement pour un deuxième mandat, le Président a exprimé son ambition pour la profession et pour l’institution, lors d’un point presse qui s’est tenu le jeudi 23 juin au siège du Conseil national.
Le Président a manifesté sa volonté d’accélérer et d’amplifier le travail mené par le Conseil national depuis 3 ans pour redonner "toute sa place à la profession de médecin au cœur de la société, en tant qu’acteur majeur de progrès, de citoyenneté et de lien social » et renforcer « la place centrale de l’Ordre dans le paysage institutionnel comme un acteur de débat et d’idées au service de la santé."
Pour servir cette double ambition, le Conseil national s’est fixé 3 grandes priorités d’action pour les trois prochaines années :
Après le succès du Livre Blanc « Pour l’avenir de la santé », le Conseil national souhaite conforter sa position en tant qu’acteur incontournable de l’organisation du territoire et de l’accès aux soins. Le Conseil national de l'Ordre des médecins souhaite ainsi poursuivre son travail sur la simplification de l’organisation territoriale et les problématiques de démographie médicale en faisant la pédagogie de son approche par « Bassin de Proximité de Santé ».
En complément de son travail de fond mené sur la recertification, Il va poursuivre son engagement pour mettre en place une formation plus professionnalisante et appeler à ce que les compétences professionnelles fassent partie de ses prérogatives.
Enfin, pour accompagner la profession dans les nouvelles exigences sociétales et décloisonner l’exercice professionnel, le Conseil national travaillera à faire évoluer le code de déontologie et le contexte réglementaire, et permettre notamment de faciliter l’installation des médecins, favoriser la mixité des modes d’exercices et la transversalité interprofessionnelle, ou encore harmoniser les droits sociaux de la profession.
Le Conseil national rappelle qu’il sera particulièrement attentif, dans la période des élections présidentielles et législatives, à faire entendre la voix des médecins et redonner à la santé la place qu’elle mérite dans le débat public. Le Président a rappelé sa volonté que « la santé ne soit pas l’oubliée de 2017 » et souligné l’urgence et la nécessité « d’enclencher une réforme en profondeur, une réforme globale, et une réforme partagée de la santé. »
Le Conseil national a annoncé vouloir poursuivre ses actions pour renforcer la proximité de l’institution avec l’ensemble des médecins pour mieux les accompagner dans leur exercice quotidien. Différentes actions seront ainsi lancées pour faciliter l’ouverture et l’accessibilité de l’institution vis-à-vis de la profession. Le système d’entraide sera par exemple largement transformé pour être plus efficace pour les médecins.
À la suite des élections du 22 juin, le nouveau Bureau du Conseil national de l’Ordre des médecins est composé comme suit :
Président : Dr Patrick BOUET
Secrétaire Général : Dr Walter VORHAUER
Trésorier : Dr Jackie AHR
Vice-Présidents :
Présidents de Section :
Délégué général aux relations internes : Dr François ARNAULT.
Délégué général aux affaires européennes et internationales : Pr Claude-François DEGOS.
Secrétaires généraux adjoints :
Le Président a manifesté sa volonté d’accélérer et d’amplifier le travail mené par le Conseil national depuis 3 ans pour redonner "toute sa place à la profession de médecin au cœur de la société, en tant qu’acteur majeur de progrès, de citoyenneté et de lien social » et renforcer « la place centrale de l’Ordre dans le paysage institutionnel comme un acteur de débat et d’idées au service de la santé."
Pour servir cette double ambition, le Conseil national s’est fixé 3 grandes priorités d’action pour les trois prochaines années :
1 - Accélérer et amplifier le rôle de l’Ordre des médecins dans l’organisation des soins
Après le succès du Livre Blanc « Pour l’avenir de la santé », le Conseil national souhaite conforter sa position en tant qu’acteur incontournable de l’organisation du territoire et de l’accès aux soins. Le Conseil national de l'Ordre des médecins souhaite ainsi poursuivre son travail sur la simplification de l’organisation territoriale et les problématiques de démographie médicale en faisant la pédagogie de son approche par « Bassin de Proximité de Santé ».
En complément de son travail de fond mené sur la recertification, Il va poursuivre son engagement pour mettre en place une formation plus professionnalisante et appeler à ce que les compétences professionnelles fassent partie de ses prérogatives.
Enfin, pour accompagner la profession dans les nouvelles exigences sociétales et décloisonner l’exercice professionnel, le Conseil national travaillera à faire évoluer le code de déontologie et le contexte réglementaire, et permettre notamment de faciliter l’installation des médecins, favoriser la mixité des modes d’exercices et la transversalité interprofessionnelle, ou encore harmoniser les droits sociaux de la profession.
2 - Faire entendre la voix des médecins dans le débat public
Le Conseil national rappelle qu’il sera particulièrement attentif, dans la période des élections présidentielles et législatives, à faire entendre la voix des médecins et redonner à la santé la place qu’elle mérite dans le débat public. Le Président a rappelé sa volonté que « la santé ne soit pas l’oubliée de 2017 » et souligné l’urgence et la nécessité « d’enclencher une réforme en profondeur, une réforme globale, et une réforme partagée de la santé. »
3 - Rendre l’Ordre des médecins plus proche et plus efficace
Le Conseil national a annoncé vouloir poursuivre ses actions pour renforcer la proximité de l’institution avec l’ensemble des médecins pour mieux les accompagner dans leur exercice quotidien. Différentes actions seront ainsi lancées pour faciliter l’ouverture et l’accessibilité de l’institution vis-à-vis de la profession. Le système d’entraide sera par exemple largement transformé pour être plus efficace pour les médecins.
À la suite des élections du 22 juin, le nouveau Bureau du Conseil national de l’Ordre des médecins est composé comme suit :
Président : Dr Patrick BOUET
Secrétaire Général : Dr Walter VORHAUER
Trésorier : Dr Jackie AHR
Vice-Présidents :
- Dr André DESEUR
- Dr Jacques LUCAS
- Dr Andrée PARRENIN
- Dr Patrick ROMESTAING
Présidents de Section :
- Ethique et déontologie : Dr Jean-Marie FAROUDJA
- Exercice professionnel : Dr François SIMON
- Formation et compétences médicales : Dr Robert NICODEME
- Santé publique : Dr Jean-Marcel MOURGUES
Délégué général aux relations internes : Dr François ARNAULT.
Délégué général aux affaires européennes et internationales : Pr Claude-François DEGOS.
Secrétaires généraux adjoints :
- Dr Bernard LE DOUARIN
- Dr Pierre MAURICE
- Dr François WILMET
Médecins n°58
Temps de lecture : 0 mn

Loi bioéthique : progrès, liberté, solidarité : une question d'équilibre - Médicaments, mieux informer pour recréer la confiance.
Résultats des élections au Conseil national
Temps de lecture : 1 mn
Les résultats des élections au Conseil national de l'Ordre des médecins sont publiés.
Conseillers nationaux élus lors du 2e renouvellement par moitié du 16 juin 2016
Alsace :
Dr Jean-François CERFONDr Gérard ICHTERTZ
Auvergne :
Dr André RAYNAL
Bretagne : Dr Jacques MORALI
Centre : Dr Odile CONTY-HENRION
Ile-de-France (Paris) :
Pr Dominique BERTRAND
Dr Hervé BOISSIN
Pr Claude-François DEGOS
Dr Pierre MAURICE
Pr Serge UZAN
Ile-de-France (Seine-Saint-Denis) :
Dr Patrick BOUET
Ile-de-France (Yvelines) :
Dr René LUIGI
Languedoc-Roussillon :
Pr Bernard GUERRIER
Dr Bruno KEZACHIAN
Limousin :
Dr Anne-Marie TRARIEUX
Lorraine :
Dr Bruno BOYER
Midi-Pyrénées :
Pr Robert NICODEME
Nord-Pas-de-Calais :
Dr Jean-François RAULT
Haute-Normandie :
Dr Jean-Marc BRASSEUR
Picardie :
Dr Walter VORHAUER
Provence-Alpes-Côte d’Azur :
Pr Georges LEONETTI
Dr Jean-Claude REGI
Rhône-Alpes :
Dr Jean-Louis BLANC
Guyane :
Titulaire : Dr Elie CHOW-CHINE
Suppléant : Dr Yvane PREVOT
Martinique :
Titulaire : Dr Emile ELANA
Suppléant : Dr Paul-Emile BAPTE
Médecins n°57
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Ligne d'écoute SOS soignants en souffrance - Chirurgie ambulatoire, l'objectif de 70% est-il réaliste ? - Autisme, changeons la donne.
Médecins n°56
Temps de lecture : 0 mn

Un plan contre la mortalité évitable - Télémédecine, décollage imminent - Soins psychiatriques sans consentement : procédure et certificats.
Médecins n°55
Temps de lecture : 0 mn

États généraux de la bioéthique : quelles limites entre le possible et le souhaitable - Pratiques avancées : lentement, mais sûrement.