Prescription de L-Thyroxine Serb (gouttes)
Temps de lecture : 1 mn
L'Ordre des médecins rappelle les précautions de prescription propres au Levothryox, suite à son changement de formule en mars 2017.
Le Levothyrox® a changé de formule à partir de mars 2017. Seul l’excipient a été modifié et non le principe actif.
Les médias et les réseaux sociaux se sont emparés de doléances alléguées par les patients et incriminées au changement de formule du médicament.
L’une des conséquences est la substitution pour les adultes du Levothyrox® par la L-Thyroxine Serb (gouttes).
À ce jour, la délivrance quotidienne de forme buvable distribuée habituellement aux enfants est de 3 à 4 fois supérieure à la délivrance antérieure.
Cette situation est susceptible d’entrainer à courte échéance, dans un délai de quelques semaines, la pénurie de la forme pédiatrique en goutte de la L-Thyroxine Serb.
Afin de prévenir une telle pénurie, il est rappelé à chacun d’entre nous que la prescription de L-Thyroxine Serb.(gouttes) doit être réservée en priorité aux enfants et aux adultes présentant des troubles sévères de la déglutition.
Le Pr Dominique Martin, Directeur Général de l’ANSM, a donné pour consigne aux pharmaciens d’officine de ne délivrer la L-Thyroxine Serb qu’à ces patients prioritaires qui ne disposent pas d'alternative.
Merci pour l’attention que vous porterez à ces recommandations de règles de prescription.
Les médias et les réseaux sociaux se sont emparés de doléances alléguées par les patients et incriminées au changement de formule du médicament.
L’une des conséquences est la substitution pour les adultes du Levothyrox® par la L-Thyroxine Serb (gouttes).
À ce jour, la délivrance quotidienne de forme buvable distribuée habituellement aux enfants est de 3 à 4 fois supérieure à la délivrance antérieure.
Cette situation est susceptible d’entrainer à courte échéance, dans un délai de quelques semaines, la pénurie de la forme pédiatrique en goutte de la L-Thyroxine Serb.
Afin de prévenir une telle pénurie, il est rappelé à chacun d’entre nous que la prescription de L-Thyroxine Serb.(gouttes) doit être réservée en priorité aux enfants et aux adultes présentant des troubles sévères de la déglutition.
Le Pr Dominique Martin, Directeur Général de l’ANSM, a donné pour consigne aux pharmaciens d’officine de ne délivrer la L-Thyroxine Serb qu’à ces patients prioritaires qui ne disposent pas d'alternative.
Merci pour l’attention que vous porterez à ces recommandations de règles de prescription.
Pétition Médecins du Monde "Targets of the World"
Temps de lecture : 1 mn
L’Ordre des médecins s’engage en signant la pétition de Médecins du Monde pour la protection des soignants en zone de guerre.
Publication du webzine consacré à la vaccination
Temps de lecture : 1 mn
Le webine n°7 de l'Ordre des médecins ouvre la réflexion sur la perte de confiance du public en matière de vaccination.
Le propose une réflexion autour de la vaccination.
Depuis plusieurs années, la vaccination fait l’objet d’une méfiance grandissante de la part des Français. Si bien qu’aujourd’hui, 3 Français sur 10 n’ont pas confiance dans les vaccins. Résultat : la couverture vaccinale française est l’une des plus basses d’Europe. Alors comment faire en sorte de redonner la confiance ?
Retrouvez les informations et les différents points de vue développés .
Depuis plusieurs années, la vaccination fait l’objet d’une méfiance grandissante de la part des Français. Si bien qu’aujourd’hui, 3 Français sur 10 n’ont pas confiance dans les vaccins. Résultat : la couverture vaccinale française est l’une des plus basses d’Europe. Alors comment faire en sorte de redonner la confiance ?
Retrouvez les informations et les différents points de vue développés .
Que peut faire un médecin devant un avis le concernant sur Internet ?
Temps de lecture : 1 mn
Plusieurs recours sont à disposition des professionnels dont la réputation risque d'être entachée par la publication d'avis d'internautes.
De plus en plus de médecins font part à l'Ordre de la recrudescence d’avis ou d’appréciations subjectives publiés sur Internet par des patients et des difficultés rencontrées par les médecins pour obtenir la suppression ou le déréférencement des contenus qui portent atteinte à leur réputation.
Ces interrogations sont d’autant plus fortes que le médecin est confronté à un devoir de réserve lorsqu’il s’agit d’un des patients qui l’a consulté alors même que sa réputation peut être injustement mise en cause.
Lire la note de l'Ordre des médecins " ".
Ces interrogations sont d’autant plus fortes que le médecin est confronté à un devoir de réserve lorsqu’il s’agit d’un des patients qui l’a consulté alors même que sa réputation peut être injustement mise en cause.
Lire la note de l'Ordre des médecins " ".
DIS DOC, T’AS TON DOC ?
Temps de lecture : 1 mn
Tous les médecins devraient avoir leur propre médecin traitant personnel et éviter de pratiquer l'auto diagnostique et l'auto médication.
En France, 80 % des médecins n’ont pas de médecin traitant personnel. Ils privilégient l’autodiagnostic et l’automédication ou recherchent un conseil rapide auprès d’un confrère. Ce constat alarmant a conduit la commission Santé des médecins anesthésistes réanimateurs au travail du Collège français des anesthésistes réanimateurs (CFAR) à lancer une auprès de tous les professionnels de santé exerçant en France. L’objectif : interpeller les médecins et leur rappeler que « le choix d’un médecin généraliste personnel est important pour notre propre santé et la qualité de nos soins ». Cette campagne fait partie intégrante de la stratégie nationale de la qualité de vie au travail. Elle rassemble 31 partenaires dont le Conseil national de l’Ordre des médecins, le ministère des Affaires sociales et de la Santé, le Collège de la médecine générale, les fédérations hospitalières publiques et privées, les organisations syndicales et intersyndicales médicales du secteur public et privé, les syndicats d’étudiants, d’internes…
Bilan de la Permanence des soins 2016
Temps de lecture : 3 mn
L'Ordre des médecins a entrepris une enquête nationale sur la permanence des soins ambulatoires et les modalités de son organisation.
L’enquête 2016, la quatrième consécutive, démontre une nouvelle fois que les médecins continuent à assumer vis-à-vis de la population cette mission de service public sur l’ensemble du territoire national bien que l’on constate une légère baisse du volontariat.
L’organisation de la permanence des soins ambulatoires sur le territoire national a peu évolué en 2016. L’enquête identifie, au titre des évolutions en 2016, des réorganisations de secteurs et de territoires, l’ouverture de nouveaux points fixes ainsi que des renforcements de régulateurs, notamment le samedi matin.
Les inquiétudes des Conseils départementaux de l’Ordre des médecins portent toujours sur les effets délétères d’une diminution du nombre de médecins, sur le vieillissement des médecins assurant les gardes, sur le manque d’intérêt des jeunes diplômés pour l’exercice libéral mais aussi sur les rémunérations des astreintes jugées insuffisantes.
Il est crucial de mettre en œuvre les moyens nécessaires pour encourager les médecins généralistes libéraux, mais aussi les médecins salariés et les remplaçants à participer à la PDSA.
Pour cela, les pouvoirs publics doivent mettre en œuvre des mesures incitatives qui peuvent être : l’application de la protection du régime général de la sécurité sociale aux médecins effecteurs et régulateurs non installés, faciliter aux médecins non installés la faculté de leur délivrer des cartes CPS, réévaluer les indemnités d’astreinte, exonérer systématiquement les retraités de leur cotisation à la CARMF, la qualité de collaborateurs occasionnels du service public des effecteurs, défiscaliser les revenus générés dans le cadre des horaires de permanence des soins ambulatoires.
Nous rappelons, à cette occasion, que l’Ordre des médecins doit être systématiquement associé aux évolutions à venir et aux réflexions en cours sur les futures organisations de la PDSA, notamment dans le cadre des fusions de régions.
L’Ordre des médecins, au niveau local et national, doit également être pleinement intégré aux discussions sur la mise en place du numéro national unique pour que la campagne d’information permette à la population d’identifier clairement le dispositif de la permanence des soins ambulatoires.
Par ailleurs, l’enquête du Conseil national de l’Ordre des médecins révèle, cette année encore, qu’aucune organisation d’une garde spécifique pour les actes médico-administratifs (examens de garde à vue et certificats de décès) n’a pu être mise en œuvre et repose encore trop souvent sur les médecins de garde.
Enfin, nous notons dans les EHPAD, des initiatives intéressantes telles que le développement d’expérimentations d’infirmières de nuit ou de dispositifs de télémédecine.
Consultez les résultats complets de l'enquête 2016 sur la Permanence des soins .
L’organisation de la permanence des soins ambulatoires sur le territoire national a peu évolué en 2016. L’enquête identifie, au titre des évolutions en 2016, des réorganisations de secteurs et de territoires, l’ouverture de nouveaux points fixes ainsi que des renforcements de régulateurs, notamment le samedi matin.
Les inquiétudes des Conseils départementaux de l’Ordre des médecins portent toujours sur les effets délétères d’une diminution du nombre de médecins, sur le vieillissement des médecins assurant les gardes, sur le manque d’intérêt des jeunes diplômés pour l’exercice libéral mais aussi sur les rémunérations des astreintes jugées insuffisantes.
Il est crucial de mettre en œuvre les moyens nécessaires pour encourager les médecins généralistes libéraux, mais aussi les médecins salariés et les remplaçants à participer à la PDSA.
Pour cela, les pouvoirs publics doivent mettre en œuvre des mesures incitatives qui peuvent être : l’application de la protection du régime général de la sécurité sociale aux médecins effecteurs et régulateurs non installés, faciliter aux médecins non installés la faculté de leur délivrer des cartes CPS, réévaluer les indemnités d’astreinte, exonérer systématiquement les retraités de leur cotisation à la CARMF, la qualité de collaborateurs occasionnels du service public des effecteurs, défiscaliser les revenus générés dans le cadre des horaires de permanence des soins ambulatoires.
Nous rappelons, à cette occasion, que l’Ordre des médecins doit être systématiquement associé aux évolutions à venir et aux réflexions en cours sur les futures organisations de la PDSA, notamment dans le cadre des fusions de régions.
L’Ordre des médecins, au niveau local et national, doit également être pleinement intégré aux discussions sur la mise en place du numéro national unique pour que la campagne d’information permette à la population d’identifier clairement le dispositif de la permanence des soins ambulatoires.
Par ailleurs, l’enquête du Conseil national de l’Ordre des médecins révèle, cette année encore, qu’aucune organisation d’une garde spécifique pour les actes médico-administratifs (examens de garde à vue et certificats de décès) n’a pu être mise en œuvre et repose encore trop souvent sur les médecins de garde.
Enfin, nous notons dans les EHPAD, des initiatives intéressantes telles que le développement d’expérimentations d’infirmières de nuit ou de dispositifs de télémédecine.
Consultez les résultats complets de l'enquête 2016 sur la Permanence des soins .
Élections présidentielles : les candidats répondent aux médecins
Temps de lecture : 1 mn
À l'occasion des élections présidentielles, l'Ordre des médecins interpellent les candidats sur la réforme profonde du système de santé.
L’Ordre des médecins, fort du et présenté le 7 février, a voulu imposer la réforme de la santé à l’agenda du futur Président de la République.
Pour la première fois de son histoire, l’Ordre des médecins a choisi d’interpeller, au nom des médecins, les candidats à l’élection présidentielle sur l’avenir de notre système de santé.
Près de 15 000 médecins ont voté pour les questions à soumettre aux candidats. Découvrez les réponses de Nicolas Dupont-Aignan, François Fillon, Benoît Hamon, Marine Le Pen et Emmanuel Macron .
Pour la première fois de son histoire, l’Ordre des médecins a choisi d’interpeller, au nom des médecins, les candidats à l’élection présidentielle sur l’avenir de notre système de santé.
Près de 15 000 médecins ont voté pour les questions à soumettre aux candidats. Découvrez les réponses de Nicolas Dupont-Aignan, François Fillon, Benoît Hamon, Marine Le Pen et Emmanuel Macron .
Portail de signalement des événements sanitaires indésirables
Temps de lecture : 1 mn
Un portail de signalement des évènements sanitaires indésirables à été mis en ligne à destination des médecins et des patients.
Le vient d'être mis en ligne afin de renforcer la vigilance en matière de sécurité sanitaire et de simplifier les démarches de signalement.
Prévu par la loi de modernisation du système de santé, ce site permet aux professionnels et aux usagers de signaler en quelques clics aux autorités sanitaires tout événement indésirable ou tout effet inhabituel ayant un impact négatif sur la santé. Sont concernés :
Prévu par la loi de modernisation du système de santé, ce site permet aux professionnels et aux usagers de signaler en quelques clics aux autorités sanitaires tout événement indésirable ou tout effet inhabituel ayant un impact négatif sur la santé. Sont concernés :
- Les médicaments
- Les dispositifs médicaux
- Les produits de la vie courante ou de l’environnement
- Les actes de soins (dont infections associées aux soins)
- Les produits de tatouage
- Les produits cosmétiques
- Les compléments alimentaires
- Les produits ou substances ayant un effet psychoactif
Fin de vie
Temps de lecture : 2 mn
Une grande campagne d'information sur la fin de vie a été lancée par la ministre Marisol Touraine à destination du public.
Marisol TOURAINE, Ministre des Affaires sociales et de la Santé, a lancé, avec le Centre national des soins palliatifs et de la fin de vie (CNSPFV) , pour inviter les Français au dialogue avec leurs proches et les professionnels de santé, et pour les informer sur les droits des personnes malades et des personnes en fin de vie.
Le site internet dédié à la fin de vie a été créé :
On y trouve des informations concernant : à du code de la santé publique.
/Non obstination déraisonnable
Le site internet
On y trouve des informations concernant :
- Les droits des patients
- Les directives anticipées
- La personne de confiance
- Des vidéos réalisées par des professionnels qui répondent aux questions et fournissent toutes les informations utiles sur les droits des malades et des personnes en fin de vie. ( le Dr Jean-Marie Faroudja, président de la section éthique et déontologie du conseil national de l’Ordre des médecins, répond aux questions relatives aux directives anticipées, à la procédure collégiale et aux limitation ou arrêts de traitement / obstination déraisonnable).
/Non obstination déraisonnable
Débat : "Accès aux soins : les territoires ont des idées !"
Temps de lecture : 3 mn
Le Conseil national de l’Ordre des médecins organise son prochain débat sur le thème : "Accès aux soins : les territoires ont des idées !".
Mardi 21 février de 9h à 11h
au 180 Boulevard Haussmann - 75008 PARIS
Les conclusions de ce rapport témoignent de l’importance des initiatives de terrain pour l’organisation des soins. Il confirme bien les propositions de l’Ordre d’une réforme voulue par les médecins en amont des campagnes électorales de 2017.
À la suite de la présentation du rapport, le débat ouvrira un échange sur les réponses concrètes au défi de l’accès aux soins, l’importance des engagements réalisés par les professionnels et l’inévitable échec de celles déconnectées des particularités locales.
Ce débat réunira les intervenants suivants :
Pour une vraie réforme de notre système de santé, à la fois efficace et durable, l’Ordre des médecins appelle à révolutionner l’organisation de notre système de santé en repartant des territoires. L’objectif est de proposer une offre cohérente, adaptée aux besoins réels. Pour cela, une seule solution : s’appuyer sur les acteurs de territoires, sur leur connaissance des problématiques locales, et leur donner les moyens de s’organiser.
Sur le terrain, de nombreuses initiatives, à la fois inventives et efficaces nous montrent la voie. L’Ordre des médecins s’est attelé, pendant tout le second semestre 2016, à leur recensement, avec l’aide des conseils départementaux et régionaux de l’Ordre. L’Ordre a également intégré les initiatives prises par les facultés de médecine pour encourager la présence d’internes dans les territoires.
Le rapport « Améliorer l’offre de soins : initiatives réussies dans les territoires » présenté ce jour propose ainsi un état des lieux des initiatives les plus originales et les plus pertinentes, reproductibles dans d’autres territoires et n’engendrant pas de coûts supplémentaires importants, qu’il s’agisse d’expériences déjà en pratique dans des zones déficitaires ou de projets.
Consultez le compte-rendu du débat .
au 180 Boulevard Haussmann - 75008 PARIS
Les conclusions de ce rapport témoignent de l’importance des initiatives de terrain pour l’organisation des soins. Il confirme bien les propositions de l’Ordre d’une réforme voulue par les médecins en amont des campagnes électorales de 2017.
À la suite de la présentation du rapport, le débat ouvrira un échange sur les réponses concrètes au défi de l’accès aux soins, l’importance des engagements réalisés par les professionnels et l’inévitable échec de celles déconnectées des particularités locales.
Ce débat réunira les intervenants suivants :
- François ARNAULT, délégué général aux relations internes du Conseil national de l'Ordre des médecins
- Cécile COURRÈGES, directrice générale de l’ARS des Pays de Loire
- Claude NEVEUR, président du Conseil régional du Centre Val de Loire de l’Ordre des médecins
- Bruno FAULCONNIER, directeur de l’Hôpital de Niort
- Céline FAURIE-GAUTHIER, conseillère municipale à Lyon, déléguée aux hôpitaux et à la prévention et à la santé.
Pour une vraie réforme de notre système de santé, à la fois efficace et durable, l’Ordre des médecins appelle à révolutionner l’organisation de notre système de santé en repartant des territoires. L’objectif est de proposer une offre cohérente, adaptée aux besoins réels. Pour cela, une seule solution : s’appuyer sur les acteurs de territoires, sur leur connaissance des problématiques locales, et leur donner les moyens de s’organiser.
Sur le terrain, de nombreuses initiatives, à la fois inventives et efficaces nous montrent la voie. L’Ordre des médecins s’est attelé, pendant tout le second semestre 2016, à leur recensement, avec l’aide des conseils départementaux et régionaux de l’Ordre. L’Ordre a également intégré les initiatives prises par les facultés de médecine pour encourager la présence d’internes dans les territoires.
Le rapport « Améliorer l’offre de soins : initiatives réussies dans les territoires » présenté ce jour propose ainsi un état des lieux des initiatives les plus originales et les plus pertinentes, reproductibles dans d’autres territoires et n’engendrant pas de coûts supplémentaires importants, qu’il s’agisse d’expériences déjà en pratique dans des zones déficitaires ou de projets.
Consultez le compte-rendu du débat .