Initiatives réussies dans les territoires
Temps de lecture : 5 mn
Un rapport sur les initiatives réussies dans les territoires vient confirmer le projet de réforme du système de santé porté par les médecins.
Les conclusions du rapport " : initiatives réussies dans les territoires", fruit d’un recensement de plus d’une centaine d’initiatives portées dans toutes les régions de France par des acteurs locaux, viennent confirmer la pertinence des quatre grands principes au cœur du , la réforme voulue par les médecins : libérer en offrant un cadre qui permette de catalyser les énergies des acteurs individuels, décentraliser, simplifier, et garantir un réel accès aux soins à tous.
L’Ordre des médecins, qui est très souvent un partenaire de ces maisons de santé, met par ailleurs en garde contre la tentation de voir dans les maisons de santé un nouveau modèle unique d’organisation à déployer dans tous les territoires : il est plus que jamais nécessaire de fonder les initiatives sur les réalités de terrain, en s’appuyant sur les acteurs locaux, et la maison de santé n’est pas un modèle pertinent pour tous les bassins de population.
La réussite de ces initiatives repose très souvent sur le partenariat d’un maximum de ces différents acteurs ; les conseils départementaux et les conseils régionaux de l’Ordre apportent pour leur part leur soutien constant à l’ensemble des expérimentations étudiées dans ce rapport.
Ces partenariats doivent être encouragés. Le Conseil national de l’Ordre des médecins estime notamment que les relations entre les maires et les conseils départementaux de l’Ordre des médecins doivent être améliorées afin de permette aux premiers de s’appuyer sur l’expertise de l’Ordre en matière de démographie médicale et sur les aspirations de la profession et en particulier celles de nos jeunes consœurs et confrères.
Sous-tendues par un projet médical de territoire, portées par des professionnels de santé et permettant une coopération effective et constante de tous les partenaires locaux, ces initiatives contribuent à renforcer l’accès aux soins dans des zones en tension.
Ce rapport est le résultat d’un travail de recensement des initiatives territoriales réalisé par l’Ordre des médecins au cours du second semestre 2016, avec l’aide des conseils départementaux et régionaux de l’Ordre. L’Ordre a également intégré les initiatives prises par les facultés de médecine pour encourager la présence d’internes dans les territoires.
Le rapport " : initiatives réussies dans les territoires" propose ainsi un état des lieux des initiatives les plus originales et les plus pertinentes, reproductibles dans d’autres territoires et n’engendrant pas de coûts supplémentaires importants, qu’il s’agisse d’expériences déjà en pratique dans des zones déficitaires ou de projets.
Regardez sur les initiatives réussies dans le territoires.
De multiples initiatives, mais pas de modèle unique
Le rapport de l'Ordre des médecins identifie les principales catégories d’initiatives qui portent d’ores et déjà leurs fruits dans les territoires :- La création de maisons pluridisciplinaires de santé, accompagnée d’un travail mené par tous les acteurs pour en assurer la meilleure répartition géographique au sein d’un territoire ;
- L’accompagnement et l’encouragement aux stages professionnalisants pour les étudiants en médecine ;
- La mise en œuvre de lieux multiples d’exercice pour les praticiens ;
- La promotion de l’assistanat auprès de médecins installés, sous toutes ses formes.
L’Ordre des médecins, qui est très souvent un partenaire de ces maisons de santé, met par ailleurs en garde contre la tentation de voir dans les maisons de santé un nouveau modèle unique d’organisation à déployer dans tous les territoires : il est plus que jamais nécessaire de fonder les initiatives sur les réalités de terrain, en s’appuyant sur les acteurs locaux, et la maison de santé n’est pas un modèle pertinent pour tous les bassins de population.
L’importance de la coopération effective entre partenaires multiples
Ce rapport démontre que la réussite des initiatives qui y sont mises en avant passe, le plus souvent, par une coopération effective et constante de l’ensemble des partenaires : l’Etat, par l’intermédiaire des ARS, et quelquefois des préfets, les collectivités territoriales, communes, conseils départementaux et conseils régionaux, les URPS et l’Université avec le rôle prépondérant, primordial, que doivent jouer les facultés de médecine.La réussite de ces initiatives repose très souvent sur le partenariat d’un maximum de ces différents acteurs ; les conseils départementaux et les conseils régionaux de l’Ordre apportent pour leur part leur soutien constant à l’ensemble des expérimentations étudiées dans ce rapport.
Ces partenariats doivent être encouragés. Le Conseil national de l’Ordre des médecins estime notamment que les relations entre les maires et les conseils départementaux de l’Ordre des médecins doivent être améliorées afin de permette aux premiers de s’appuyer sur l’expertise de l’Ordre en matière de démographie médicale et sur les aspirations de la profession et en particulier celles de nos jeunes consœurs et confrères.
Un recensement précis d’initiatives qui doivent nous montrer la voie
Alors que l’Ordre des médecins appelle à révolutionner l’organisation de notre système de santé en s’appuyant sur les acteurs des territoires, sur leur connaissance des problématiques locales en leur donnant les moyens de s’organiser, les initiatives recensées dans ce rapport doivent nous montrer la voie.Sous-tendues par un projet médical de territoire, portées par des professionnels de santé et permettant une coopération effective et constante de tous les partenaires locaux, ces initiatives contribuent à renforcer l’accès aux soins dans des zones en tension.
Ce rapport est le résultat d’un travail de recensement des initiatives territoriales réalisé par l’Ordre des médecins au cours du second semestre 2016, avec l’aide des conseils départementaux et régionaux de l’Ordre. L’Ordre a également intégré les initiatives prises par les facultés de médecine pour encourager la présence d’internes dans les territoires.
Le rapport " : initiatives réussies dans les territoires" propose ainsi un état des lieux des initiatives les plus originales et les plus pertinentes, reproductibles dans d’autres territoires et n’engendrant pas de coûts supplémentaires importants, qu’il s’agisse d’expériences déjà en pratique dans des zones déficitaires ou de projets.
Regardez sur les initiatives réussies dans le territoires.
Vidéos des initiatives réussies dans les territoires
Réseau Mille soins : mais reliée grâce au réseau informatique
- Le Montpellier Institut du sein
de femmes atteintes d’un cancer du sein - Belle-Ile,
- Deux-Sèvres : initiative pour
- Dijon pour r
en zone urbaine - Le Groupe cardio-vasculaire Sorgue-Lubéron permet travail en équipe, solidarité, liberté, sécurité et attractivité.
Etude sur l'installation des jeunes médecins
Temps de lecture : 0 mn
Étude de la commission jeunes médecins sur les déterminants à l'installation.
Vente sur Internet de bons d'achat incluant des actes médicaux
Temps de lecture : 1 mn
La Cour d'appel de Paris confirme son jugement sur la vente en ligne de bons d'achat incluant l'exécution d'actes médicaux.
Vente sur internet de bons d’achat à faire valoir sur des prestations incluant l’exécution d’actes médicaux :
La Cour d’Appel de Paris, dans son arrêt du 22 juin 2017, confirme le jugement rendu le 17 juillet 2015 par le tribunal de grande instance de Paris, ayant statué sur la plainte du Conseil national de l’Ordre des médecins, sauf en ce qu'il a retenu des actes de concurrence déloyale à l'encontre de la société COSFI et déboute le conseil national de l'ordre des médecins de ses demandes dirigées contre la société COSFI.
Le délai de recours n’étant pas encore expiré, cet arrêt est susceptible d’un pourvoi en cassation.
La Cour d’Appel de Paris, dans son arrêt du 22 juin 2017, confirme le jugement rendu le 17 juillet 2015 par le tribunal de grande instance de Paris, ayant statué sur la plainte du Conseil national de l’Ordre des médecins, sauf en ce qu'il a retenu des actes de concurrence déloyale à l'encontre de la société COSFI et déboute le conseil national de l'ordre des médecins de ses demandes dirigées contre la société COSFI.
Le délai de recours n’étant pas encore expiré, cet arrêt est susceptible d’un pourvoi en cassation.
Résultats 2018 de l’Observatoire de la sécurité des médecins.
Temps de lecture : 0 mn
Résultats 2018 de l’Observatoire de la sécurité des médecins : un nombre toujours plus important d’incidents déclarés.
Diversification de l’offre de spécialités à base de lévothyroxine
Temps de lecture : 2 mn
L'offre de médicaments à base de lévothyroxine se diversifie à partir d'octobre 2017.
À partir d'octobre 2017, les professionnels de santé et les patients souffrant de troubles thyroïdiens disposeront de quatre médicaments :
Ces mesures ont été prises afin que les professionnels de santé puissent proposer, après une écoute attentive des symptômes, un choix de traitement pour apporter des solutions à certains patients qui continuent à rencontrer des effets indésirables avec Levothyrox nouvelle formule.
Pour les patients, traités par Levothyrox nouvelle formule, qui sont bien équilibrés et ne présentent pas d’effets indésirables ou seulement des effets indésirables transitoires, il n’y a pas lieu de changer de traitement. Dans tous les cas les patients ne doivent jamais arrêter ou modifier leur traitement sans avis médical.
Par ailleurs, l’ANSM a réalisé des contrôles de Levothyrox nouvelle formule courant septembre dans ses laboratoires qui ont confirmé sa bonne qualité.
L’ANSM en lien avec les professionnels de santé et les associations de patients ont réalisé deux documents d’information, l’un pour accompagner les professionnels de santé dans leur prescription et leur dispensation, l’autre pour accompagner les professionnels de santé dans l’information aux patients.
Pour déclarer tout effet indésirable : www.signalement-sante.gouv.fr.
- Levothyrox comprimé nouvelle formule (Laboratoire Merck)
- L-Thyroxin Henning comprimé (Laboratoire Sanofi) disponible de manière pérenne à partir de la mi-octobre 2017
- L-Thyroxine Serb solution buvable en gouttes (Laboratoire Serb) qui peut être une alternative thérapeutique qui doit prendre en compte la nécessaire priorisation de la prescription aux enfants de moins de 8 ans et aux personnes présentant un trouble de la déglutition.
- En dernier recours, Euthyrox comprimé (Laboratoire Merck), médicament équivalent à l’ancienne formule de Levothyrox.
Ces mesures ont été prises afin que les professionnels de santé puissent proposer, après une écoute attentive des symptômes, un choix de traitement pour apporter des solutions à certains patients qui continuent à rencontrer des effets indésirables avec Levothyrox nouvelle formule.
Pour les patients, traités par Levothyrox nouvelle formule, qui sont bien équilibrés et ne présentent pas d’effets indésirables ou seulement des effets indésirables transitoires, il n’y a pas lieu de changer de traitement. Dans tous les cas les patients ne doivent jamais arrêter ou modifier leur traitement sans avis médical.
Par ailleurs, l’ANSM a réalisé des contrôles de Levothyrox nouvelle formule courant septembre dans ses laboratoires qui ont confirmé sa bonne qualité.
L’ANSM en lien avec les professionnels de santé et les associations de patients ont réalisé deux documents d’information, l’un pour accompagner les professionnels de santé dans leur prescription et leur dispensation, l’autre pour accompagner les professionnels de santé dans l’information aux patients.
Pour déclarer tout effet indésirable : www.signalement-sante.gouv.fr.
Médicaments à base de lévothyroxine
Temps de lecture : 1 mn
Les patients disposeront de nouveaux médicaments à base de lévothyroxine en pharmacie à partir d’octobre 2017.
Afin de proposer un choix de traitement aux patients souffrant de troubles de la thyroïde et d’apporter des solutions à certains patients qui continuent à rencontrer des effets indésirables avec le Levothyrox, l’ANSM met à disposition d’autres médicaments à base d’hormones thyroïdiennes, actuellement commercialisés en Europe. Dès mi-octobre, les professionnels de santé et les patients disposeront de quatre médicaments : Levothyrox comprimé, L-Thyroxine Serb solution buvable en gouttes, L-Thyroxin Henning comprimé et, temporairement, Euthyrox comprimé (médicament équivalent à l’ancienne formule de Levothyrox).
Les patients qui ne rencontrent pas de problème avec la nouvelle formule du Levothyrox, ou qui sont stabilisés avec celle-ci, ne doivent pas changer de traitement. Dans tous les cas les patients ne doivent jamais arrêter ou modifier leur traitement sans avis médical.
Les patients qui ne rencontrent pas de problème avec la nouvelle formule du Levothyrox, ou qui sont stabilisés avec celle-ci, ne doivent pas changer de traitement. Dans tous les cas les patients ne doivent jamais arrêter ou modifier leur traitement sans avis médical.
Prévenir et gérer les conflits
Temps de lecture : 0 mn
Quelles sont les causes de conflits entre médecin et patient, comment les prévenir et les gérer.
Vaccination VHB des étudiants en médecine
Temps de lecture : 2 mn
Face à une pénurie de vaccins contre l'hépatite B, les étudiants des professions médicales et paramédicales peuvent suivre ces recommandation.
Message urgent DGS : vaccination des élèves et étudiants des professions médicales et paramédicales contre l'hépatite B.
Le Professeur Vallet, Directeur général de la santé nous informe que la France fait face à une pénurie généralisée de vaccins adultes contre l’hépatite B.
Si les perspectives d’approvisionnement sont plutôt rassurantes pour la fin de l’année, un dispositif spécifique de gestion a été mis en œuvre afin que les élèves et étudiants des professions médicales et paramédicales soient bien protégés contre l’hépatite B à la rentrée de septembre 2017 et qu’ils puissent prendre leurs fonctions en stage.
Ainsi, lors de l’envoi du courrier de confirmation de l’inscription, les organismes de formation ont informé les étudiants et élèves des dispositions suivantes :
Par ailleurs, compte tenu de l’imminence du début des stages prévus fin septembre, il est rappelé que les médecins prescrivent d’emblée 2 doses d’Engérix B20® aux étudiants afin de gagner en réactivité.
Le Professeur Vallet, Directeur général de la santé nous informe que la France fait face à une pénurie généralisée de vaccins adultes contre l’hépatite B.
Si les perspectives d’approvisionnement sont plutôt rassurantes pour la fin de l’année, un dispositif spécifique de gestion a été mis en œuvre afin que les élèves et étudiants des professions médicales et paramédicales soient bien protégés contre l’hépatite B à la rentrée de septembre 2017 et qu’ils puissent prendre leurs fonctions en stage.
Ainsi, lors de l’envoi du courrier de confirmation de l’inscription, les organismes de formation ont informé les étudiants et élèves des dispositions suivantes :
- Les personnes non encore immunisées doivent consulter leur médecin traitant afin qu’une prescription unique de 2 doses de vaccin ENGERIX B 20 microgrammes/1 ml® leur soit faite.
- Ces deux doses doivent être administrées à un mois d’intervalle et la deuxième injection doit être réalisée au moins un mois avant le début du stage clinique.
- La 3ème dose pourra être prescrite et administrée après la fin de la période de pénurie.
- Les élèves et étudiants s’approvisionnent en vaccins à la pharmacie à usage intérieur (PUI) autorisée à l’activité de rétrocession désignée proche de leur organisme de formation.
- L’administration des vaccins sera réalisée par le médecin traitant et exceptionnellement, s’il y a lieu, par le service santé au travail du lieu de stage.
Par ailleurs, compte tenu de l’imminence du début des stages prévus fin septembre, il est rappelé que les médecins prescrivent d’emblée 2 doses d’Engérix B20® aux étudiants afin de gagner en réactivité.
Attention aux excès de vitesse
Temps de lecture : 2 mn
Précaution de vitesse pour les médecins conduisant des véhicules dont la carte grise désigne une société comme propriétaire du véhicule.
L’article L121-6 du Code de la Route entré en vigueur le 1er janvier 2017 prévoit :
Lorsqu'une infraction constatée selon les modalités prévues à l'article L. 130-9 a été commise avec un véhicule dont le titulaire du certificat d'immatriculation est une personne morale ou qui est détenu par une personne morale, le représentant légal de cette personne morale doit indiquer, par lettre recommandée avec demande d'avis de réception ou de façon dématérialisée, selon des modalités précisées par arrêté, dans un délai de quarante-cinq jours à compter de l'envoi ou de la remise de l'avis de contravention, à l'autorité mentionnée sur cet avis, l'identité et l'adresse de la personne physique qui conduisait ce véhicule, à moins qu'il n'établisse l'existence d'un vol, d'une usurpation de plaque d'immatriculation ou de tout autre événement de force majeure.
Le fait de contrevenir au présent article est puni de l'amende prévue pour les contraventions de la quatrième classe.
Ces dispositions concernent les infractions constatées par radar automatique.
Elles intéressent tous les médecins conduisant des véhicules dont la carte grise désigne une société comme propriétaire du véhicule (SCM, SEL…). Dans ce cas le représentant légal de la société doit dans les 45 jours de l’envoi de l’avis de contravention désigner le conducteur du véhicule, qui peut être lui-même ou un de ses associés. A défaut il s’expose à recevoir un deuxième avis de contravention d’un montant de 875 euros pour non désignation de conducteur.
Si cette information est bien portée sur le premier avis de contravention certains médecins n’y ont pas porté toute l’attention requise.
Il a pu arriver que tel avis concerne un médecin conduisant son propre véhicule. Dans ce cas il convient d’adresser une réclamation en joignant la carte grise. Elle ne devrait pas non plus concerner les conducteurs de véhicules qu’ils ont loués.
En conclusion respectez les limitations de vitesse ce qui évitera des risques pour vous et les personnes qui vous environnent et lisez attentivement les avis de contravention.
Lorsqu'une infraction constatée selon les modalités prévues à l'article L. 130-9 a été commise avec un véhicule dont le titulaire du certificat d'immatriculation est une personne morale ou qui est détenu par une personne morale, le représentant légal de cette personne morale doit indiquer, par lettre recommandée avec demande d'avis de réception ou de façon dématérialisée, selon des modalités précisées par arrêté, dans un délai de quarante-cinq jours à compter de l'envoi ou de la remise de l'avis de contravention, à l'autorité mentionnée sur cet avis, l'identité et l'adresse de la personne physique qui conduisait ce véhicule, à moins qu'il n'établisse l'existence d'un vol, d'une usurpation de plaque d'immatriculation ou de tout autre événement de force majeure.
Le fait de contrevenir au présent article est puni de l'amende prévue pour les contraventions de la quatrième classe.
Ces dispositions concernent les infractions constatées par radar automatique.
Elles intéressent tous les médecins conduisant des véhicules dont la carte grise désigne une société comme propriétaire du véhicule (SCM, SEL…). Dans ce cas le représentant légal de la société doit dans les 45 jours de l’envoi de l’avis de contravention désigner le conducteur du véhicule, qui peut être lui-même ou un de ses associés. A défaut il s’expose à recevoir un deuxième avis de contravention d’un montant de 875 euros pour non désignation de conducteur.
Si cette information est bien portée sur le premier avis de contravention certains médecins n’y ont pas porté toute l’attention requise.
Il a pu arriver que tel avis concerne un médecin conduisant son propre véhicule. Dans ce cas il convient d’adresser une réclamation en joignant la carte grise. Elle ne devrait pas non plus concerner les conducteurs de véhicules qu’ils ont loués.
En conclusion respectez les limitations de vitesse ce qui évitera des risques pour vous et les personnes qui vous environnent et lisez attentivement les avis de contravention.