Annulation des audiences disciplinaires

Dans le cadre de la lutte contre la propagation du Coronavirus COVID-19, conformément aux instructions du gouvernement, la chambre disciplinaire nationale a pris les mesures suivantes :
Objet de la consultation | Acte d'engagement |
CCAP | CCTP | Bordereau de prix |
Règlement de la consultation |
Achat de logiciels Microsoft |
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Mobilisation de la Réserve sanitaire pour faire face au Coronavirus

Le Conseil national de l’Ordre des médecins, le Conseil national de l’Ordre des infirmiers et Santé Publique France appellent les médecins et infirmiers qui le peuvent à rejoindre la Réserve sanitaire, alors que s’accélère encore la propagation du virus Covid-19. En effet, ces deux professions sont, dans cette période, particulièrement demandées pour les missions de renfort liées au coronavirus Covid-19.
Cet appel commun s’adresse spécifiquement aux médecins et infirmiers inscrits au sein de leur Ordre, en priorité ceux n’exerçant pas aujourd’hui, qu’ils soient à la retraite depuis moins de cinq ans ou qu’ils aient décidé d’interrompre leur exercice pour convenance personnelle. Les Ordres prendront contact avec eux dans les plus brefs délais pour les inviter à s’engager et leur indiquer la marche à suivre*.
Un appel spécifique sera adressé aux jeunes professionnels médecins et infirmiers qui n’ont pas d’activité régulière afin qu’ils puissent, eux aussi, rejoindre la Réserve sanitaire et épauler ainsi leurs confrères.
Grâce à cette initiative, l’Ordre des médecins, l’Ordre des infirmiers et Santé Publique France souhaitent augmenter la capacité d’intervention de la Réserve sanitaire et lui donner les moyens nécessaires pour faire face à l’épidémie, notamment dans les EHPAD et les établissements de soins. L’Ordre des médecins, l’Ordre des infirmiers et Santé Publique France comptent sur votre esprit de solidarité pour contribuer à garantir à l’ensemble de la population la meilleure prise en charge possible.
Dans ce contexte de forte tension pour notre système de santé, l’Ordre des médecins, l’Ordre des infirmiers et Santé Publique France tiennent à saluer l’engagement, aux côtés des patients et des pouvoirs publics, de tous les professionnels pour faire face à la propagation du virus.
* Tous les médecins et infirmiers qui le souhaitent peuvent obtenir davantage d’informations
Enjeux éthiques : la place du médecin

- les lois de bioéthique,
- l'extension de l’assistance médicale à la procréation,
- les recherches sur l’embryon et les cellules souches,
- les prélèvements et greffes d’organes,
- l'éthique et numérique en santé.
Médecins spécial "Enjeux éthiques"

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Le respect de l'éthique et de la déontologie médicale est l'un des principaux champs de compétences de l'Ordre des médecins. Retrouvez une sélection des prises de positions rendues ces dernières années. |
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Le serment d’Hippocrate (texte revu par l’Ordre des médecins) |
Médecins n°66

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: Bilan de la permanence des soins - Culture
: Protéger la liberté et la sécurité du personnel médical
: La commission des relations avec les usagers
: Au CHU de Toulouse les patients sourds savent à qui s'adresser (consultation de médecine générale en langage des signes)
: Aidants familiaux - professionnels: quelles relations ? Avec Florence Leduc, présidente de l'Association française des aidants, Dr Nathalie Maubourguet, présidentes de la Fédération française des associations de médecins coordonnateurs en Ehpad, Dr Anne-Marie Trarieux, présidente de la section éthique et déontologie du Cnom
: Le difficile accès aux soin des personnes handicapées. Avec les témoignages de Pascal Jacob, président de l'Association Handidactique, de Patrick Gohet, adjoint au Défenseur des droits, du Dr Claire Siret, présidente de la commission des relations avec les usagers du Cnom et du Dr Luc Régnault, médecin généraliste au sein d'une MDPH. Reportage au Centre hospitalier de Rodez
MON EXERCICE :
- : Innovations numériques et prise en charge du handicap / Pr Stéphane Oustric
- : La convention Aeras 2019 / Dr Gilles Munier
- : Procédure d'autorisation d'exercice pour les médecins à diplôme hors Union Européenne / Pr Robert Nicodème et Pr Dominique Bertrand
- au CROM de Nouvelle-Aquitaine et aux Chambres disciplinaires de première instance
Conformément au
Sous la forme d’une note sur 100, l’index se compose de quatre grands critères qui évaluent les inégalités entre femmes et hommes dans l’entreprise.
L'index de l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes pour l’année 2024 : 91 / 100
- Ecart de rémunération : 36 / 40 points
- Ecart d’augmentations individuelles : 35 / 35 points
- Pourcentage de salariés augmentés au retour d’un congé maternité : 15 / 15 points
- Nombre de salariés du sexe sous-représenté parmi les 10 plus hautes rémunérations : 5 / 10 points
Le télétravail des « collaborateurs » du médecin
Le code de déontologie médicale
Pour le CNOM, la question qui se pose est celle de la compatibilité de ce dispositif avec l’article 72 du code de déontologie médicale qui prévoit que :« Le médecin doit veiller à ce que les personnes qui l'assistent dans son exercice soient instruites de leurs obligations en matière de secret professionnel et s'y conforment.
Il doit veiller à ce qu'aucune atteinte ne soit portée par son entourage au secret qui s'attache à sa correspondance professionnelle. »
Les commentaires du code précisent que (version en vigueur depuis le 8 août 2004) :
« Le principe du secret professionnel, affirmé dès l'article 4, s'étend aux aides et collaborateurs du médecin, sous sa responsabilité. Les secrétaires, les infirmières, les techniciens de laboratoires d'analyses médicales, les agents hospitaliers … et d'une façon générale toutes les personnes qui l'assistent, sont astreints au secret professionnel (voir note 1). L'article 226-13 du code pénal les concerne.
Ce personnel a, en effet, accès au courrier, aux fiches cliniques, aux dossiers médicaux ou aux comptes rendus d'analyses quel qu’en soit le support. Il est ainsi dépositaire, au même titre que le médecin, d'informations à caractère confidentiel, se rapportant aux patients. Chaque collaborateur d'un médecin est tenu, personnellement, au secret.
(…) Les médecins ont la responsabilité de faire reconnaître, par leur employeur ou supérieur hiérarchique, leurs obligations déontologiques et ont le droit d'obtenir les moyens de les respecter. Ils peuvent demander l’intervention du Conseil départemental lorsqu’une autorité quelle qu’elle soit prétend y porter atteinte.(…)»
Le télétravail : en droit du travail et dans la fonction publique
L’article L 1222-9 du Code du travail prévoit que le télétravail désigne toute forme d'organisation du travail dans laquelle un travail qui aurait également pu être exécuté dans les locaux de l'employeur est effectué par un salarié hors de ces locaux de façon volontaire en utilisant les technologies de l'information et de la communication.La loi n° 2012-387 du 22 mars 2012 relative à la simplification du droit et à l’allégement des démarches administratives, dite « loi Warsmann II » marque l’entrée du télétravail dans le Code du travail.
Dans le cadre spécifique de la fonction publique :
La loi n° 2012-347 du 12 mars 2012 a étendu aux agents publics le télétravail en référence à l’article précité du code du travail.
Le « collaborateur » en télétravail peut être le salarié ou le prestataire de service du médecin libéral. On peut penser ici au télé secrétariat .Dans les exercices salariés le médecin peut être le supérieur hiérarchique du collaborateur ou exercer sur lui une autorité fonctionnelle. C’est le cas par exemple dans les compagnies d’assurance pour des activités qui n’ont pas conduit à la création de services médicaux. Le médecin est responsable des données de santé qui transitent dans la compagnie d’assurance. Les agents concernés ne sont en revanche pas sous la responsabilité hiérarchique du médecin.
Recommandations (RGPD et déontologie)
En définitive le télétravail doit donc se faire dans le respect des règles de droit du travail, de déontologie et de conformité au RGPD.Des garanties doivent être prévues afin que le télétravail n’entraine pas une altération des conditions de confidentialité en place sur le lieu de travail du médecin : c’est l’objet des recommandations ordinales.
S’il est difficile pour le médecin de s’assurer à distance du respect des règles de la confidentialité par la personne qui l’assiste, ces dernières doivent nécessairement signer un accord de confidentialité ou un avenant au contrat de travail.
De plus, les recommandations suivantes sont établies.
Sur l’optimisation de la sécurité des données :
- Les salariés (ou prestataires) ne peuvent emporter hors de l’entreprise les documents médicaux papier, ou sur clé USB et ne travaillent que sur une plateforme sécurisée ;
- Les connexions doivent être sécurisées ;
- Le poste doit se mettre en veille automatiquement ;
- Il doit être impossible d’imprimer et d’utiliser le téléphone pour évoquer des situations relevant du secret médical ;
- Le poste doit être chiffré : disque dur du portable chiffré, en cas de vol, diminution du risque de perte de données ;
- Il doit être mis en place une information sur les dossiers qu’on ouvre et la possibilité d’enregistrer l’ouverture des pièces médicales dans les dossiers ouverts, et un contrôle aléatoire de cette traçabilité.
- les personnes concernés doivent avoir reçu une formation particulière donnée sous la responsabilité du médecin, bénéficier de l’accord de leur supérieur hiérarchique et du médecin responsable des donnes de santé s’il n’est pas le supérieur hiérarchique et avoir des missions compatibles avec la mise en place du télétravail.
Les bonnes pratiques mises en place dans la structure concernant la protection des données personnelles, notamment les mesures de sécurité (art. 32 RGPD), s’appliquent de la même manière dans le cadre du télétravail. Des outils adaptés doivent ainsi être anticipés afin de permettre le télétravail en toute sécurité.
Afin de mettre en place ces bonnes pratiques, il est opportun de consulter le guide relatif à la sécurité des données personnelles de la CNIL. S’agissant en particulier de données de santé, il doit être envisagé de renforcer les mesures de sécurité avec par exemple des habilitations plus restreintes ou encore une solution d’authentification forte.
Médecine de contrôle à distance
Champ d’application de la télémédecine légalement organisé
L’article L6316-1 du code de la santé publique issu de la loi HPST de 2009 prévoit que :
« La télémédecine est une forme de pratique médicale à distance utilisant les technologies de l'information et de la communication. Elle met en rapport un professionnel médical avec un ou plusieurs professionnels de santé, entre eux ou avec le patient et, le cas échéant, d'autres professionnels apportant leurs soins au patient.
Elle permet d'établir un diagnostic, d'assurer, pour un patient à risque, un suivi à visée préventive ou un suivi post-thérapeutique, de requérir un avis spécialisé, de préparer une décision thérapeutique, de prescrire des produits, de prescrire ou de réaliser des prestations ou des actes, ou d'effectuer une surveillance de l'état des patients.
La définition des actes de télémédecine ainsi que leurs conditions de mise en œuvre sont fixées par décret ».
A l’évidence, cet article ne concerne pas les activités de médecine de contrôle organisées par les régimes obligatoire ou complémentaires de sécurité sociale ou par les assureurs.
Le décret d’application de la loi HPST fixe un cadre à la télémédecine dans les soins
Les actes de télémédecine sont réalisés avec le consentement libre et éclairé de la personne.
Les professionnels de santé intervenant dans l'acte doivent être authentifiés.
Les patients doivent être identifiés.
L'accès des professionnels de santé aux données médicales du patient nécessaires à la réalisation de l'acte doit être garanti.
Lorsque la situation l'impose, la formation ou la préparation du patient à l'utilisation du dispositif de télémédecine doit être assurée.
Sont inscrits dans le dossier du patient tenu par chaque professionnel médical intervenant dans l'acte de télémédecine et dans la fiche d'observation mentionnée à l'article R. 4127-45 :
- le compte rendu de la réalisation de l'acte ;
- la date et l'heure de l'acte ;
- le cas échéant, les incidents techniques survenus au cours de l'acte.
Il apparait donc utile d’apporter un socle légal de garanties à la médecine de contrôle à distance. Cette recommandation apparait plus facilement applicable dans les situations où la médecine de contrôle est instituée par la loi et des dispositions réglementaires (régimes obligatoires d’assurance maladie) que dans celui où il résulte du contrat (assurances dans le cadre de complémentaires santé ou d’autres produits d’assurance).
Recommandations
Recommandation 1
Transposer les garanties légales prévues pour la médecine de soins apparait justifié, en particulier dans un cadre où la personne assurée ne choisit pas le médecin qui va procéder au contrôle.
Recommandation 2
Les exigences déontologiques relatives à la médecine de contrôle (articles
Recommandation 3
Le consentement de l’assuré doit être exigé et tracé et il doit lui être indiqué la possibilité de demander un contrôle présentiel.
Le consentement est recueilli avant la réalisation effective du contrôle on ne peut se contenter d’un consentement légal ou contractuel pour des contrôles médicaux à venir. A cette occasion, il doit être rappelé que le télécontrôle ne fait pas l’objet d’un enregistrement.
Recommandation 4
Des procédures d’authentification du médecin et d’identification de l’assuré doivent être mises en place. S’agissant de la personne contrôlée, la vérification de l’identité ne relève pas de la mission du médecin.
L’article L 315-1 IV. bis du code de la sécurité sociale dispose que le service du contrôle médical s'assure de l'identité du patient à l'occasion des examens individuels qu'il réalise, en demandant à la personne concernée de présenter sa carte nationale d'identité ou tout autre document officiel comportant sa photographie.
Cette demande de vérification peut être assurée par les personnels à sa disposition.
Recommandation 5
L’acte de médecine de contrôle doit être tracé sous la responsabilité du médecin et comporter notamment :
- le compte rendu de la réalisation de l'acte ;
- la date et l'heure de l'acte ;
- le cas échéant, les incidents techniques survenus au cours de l'acte.
Recommandation 6
Les connexions doivent être sécurisées et le médecin doit préalablement s’en assurer.
Recommandation 7
Si le médecin estime en amont du contrôle pour des raisons qu’il apprécie en conscience que le télécontrôle n’est pas adapté, il doit pouvoir le refuser de même qu’il doit pouvoir l’interrompre en cours de réalisation, pour les mêmes raisons, et inviter l’assuré à un contrôle présentiel.
Recommandation 8
Si le médecin qui effectue le télécontrôle estime devoir conclure au refus d’accès à une prestation ou à l’interruption d’une prestation il doit procéder à un contrôle présentiel.
Newsletter de février 2020

À la une
La permanence des soins en 2019
Le Conseil national de l’Ordre des médecins publie sa
Globalement, la PDS fonctionne bien. 70% des Conseils départementaux de l’Ordre des médecins (CDOM) considèrent que la PDS fonctionne globalement bien mais que certaines zones de leur département sont en difficulté. 22% estiment qu’elle fonctionne bien, et 9% qu’elle ne fonctionne pas bien. Les CDOM attribuent principalement les dysfonctionnements constatés au manque de médecins, qu’il soit dû à l’évolution de la démographie médicale en général ou plus particulièrement au désengagement des médecins libéraux. Les problématiques organisationnelles - resectorisations, géographie des territoires ou manque de moyens- sont également mises en cause.
La participation des médecins en légère baisse. En effet, la participation des médecins à la PDS est passée à 38,1% contre 38,6% en 2018. Pour renforcer l’implication des médecins, les CDOM en appellent notamment à des mesures financières, au renforcement de la participation des médecins étudiants ou salariés ou encore au renforcement de la sécurité.
Pour une meilleure organisation. 85% des départements comptent aujourd’hui un ou plusieurs sites dédiés à l’effection fixe. Au regard de cela, la mise à disposition de transports dédiés pour les patients non-mobilisables est une nécessité. Seuls 11 départements prévoient des dispositifs spécifiques. Autres axes d’amélioration, en ce qui concerne l’organisation de la PDS : la mise en place d’actions de communication auprès du grand public et des médecins libéraux, ou encore la restructuration des secteurs de garde.
Le chiffre du mois
0800 130 000, la plateforme téléphonique d’information « Coronavirus Covid-19 » mise en place par le gouvernement. Accessible gratuitement depuis un poste fixe en France 7j/7 et 24h/24, elle délivre des informations sur le virus et des conseils aux personnes ayant voyagé dans une zone à risque. Elle n’a pas vocation à recevoir les appels des personnes qui ont des questions médicales liées à leur propre situation : en cas de symptômes évocateurs, il faut composer le 15.Actus
DPC : une enquête auprès des médecins
Le Conseil national de l’Ordre des médecins, le Collège de la médecine générale, la Fédération des spécialités médicales et la Conférence des doyens des facultés de médecine lancent uneAeras 2019 : l’accès à l’assurance facilité
La convention AERAS - s’Assurer et Emprunter avec un Risque Aggravé de Santé - a pour objet de faciliter l’accès à l’assurance et à l’emprunt des personnes ayant, ou ayant eu, un problème grave de santé (articles L. 1141-2 à L. 1141-3 du code de la santé publique). Entrée en vigueur en 2007, sa dernière version révisée en juillet 2019 tend à élargir cet accès et renforce le droit à l’oubli, dispensant certaines personnes de déclarer leur ancien cancer à l’assureur. Le patient ayant lui-même déclaré sa pathologie à l’assurance, le médecin joue, dans ce cas, pleinement son rôle essentiel de conseil en donnant des informations précises lors de la constitution du dossier d’assurance. À la suite de cette actualisation, le Cnom a révisé son rapport «
Perturbateurs endocriniens : une formation en ligne
En collaboration avec la Direction générale de la santé, l’École des hautes études en santé publique lance une nouvelle formation en ligne : « Perturbateurs endocriniens et risque chimique de la périnatalité et la petite enfance ». Entièrement gratuite, cette formation de 6 heures est prioritairement destinée aux endocrinologues, médecins généralistes, de PMI, pédiatres, gynécologues-obstétriciens ainsi qu’aux professionnels de santé s’inscrivant dans la périnatalité. Objectifs visés, à l’issue de la formation : identifier les personnes les plus à risques, appréhender le comportement des personnes les plus exposées, expliquer simplement un sujet apparaissant comme anxiogène, conseiller les patients pour réduire leurs expositions et orienter le patient vers des personnes ou des structures référentes.À découvrir
du Conseil national de l’Ordre des médecins sur l’état des lieux de la permanence des soins ambulatoires en médecine générale, au 31 décembre 2019. Parallèlement à l’enquête menée auprès des CDOM, une enquête qualitative exploratoire a été menée auprès de médecins responsables de maisons médicales de garde (page 40 du rapport).
En images
L’intervention du Dr Patrick Bouet, aux Assises de la citoyenneté
