Au service des médecins dans l’intérêt des patients

Webzine#21 : Les dons

Temps de lecture : 1 mn
Webzine sur les dons d’organes, de sang, de gamètes
Publication du dernier webzine de l'Ordre des médecins consacré aux dons (d'organe, de tissus ou de gamètes...)
Qu’il s’agisse d’un don de sang, d’organe, de tissus ou de gamètes… les dons de produits humains sont un acte de santé publique essentiel. Et pour cause, malgré d’importantes avancées techniques et technologiques dans le domaine de la santé, le don reste l’unique moyen de soigner certaines maladies, de répondre à des carences, des défaillances ou des atteintes de notre corps, et donc de changer des vies.

Dans ce nouveau webzine de l’Ordre, découvrez au travers de témoignages, de décryptages et de reportages un tour d’horizon complet du sujet. Au sommaire, retrouvez notamment un entretien avec le Dr Marine Jeantet, directrice générale de l’Agence de la Biomédecine, une interview croisée entre un patient greffé et les parents d’un donneur, et des reportages à Rennes, à Grenoble ou à Montpellier.

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Le webzine est une publication thématique semestrielle qui approfondit une problématique en croisant les regards de nombreux intervenants - Retrouvez tous les numéros

Dons d’organes, de sang, de gamètes

Temps de lecture : 0 mn
Webzine sur les dons d’organes, de sang, de gamètes
Ce webzine fait le point sur les dons d’organes, de sang, de gamètes...les dons de produits humains sont un acte de santé publique essentiel.

Newsletter de juin 2024

Temps de lecture : 4 mn
Newsletter de juin 2024
Au sommaire de la newsletter de juin : le nouveau webzine sur les dons ; Distilbène, un guide pratique pour la prise en charge ....

 À la une

Dons d’organes, de sang, de gamètes… Découvrez notre nouveau webzine


À l’occasion du 22 juin, journée nationale de réflexion sur le don d’organes, le Conseil national de l’Ordre des médecins (Cnom) publie un nouveau webzine consacré à ce sujet majeur de santé publique.

Qu’il s’agisse d’un don de sang, d’organe, de tissus ou de gamètes… les dons de produits humains sont un acte de santé publique essentiel. Et pour cause, malgré d’importantes avancées techniques et technologiques dans le domaine de la santé, le don reste l’unique moyen de soigner certaines maladies, de répondre à des carences, des défaillances ou des atteintes de notre corps, et donc de changer des vies.

Dans ce nouveau webzine de l’Ordre, découvrez au travers de témoignages, de décryptages et de reportages un tour d’horizon complet du sujet. Au sommaire, retrouvez notamment un entretien avec le Dr Marine Jeantet, directrice générale de l’Agence de la Biomédecine, une interview croisée entre un patient greffé et les parents d’un donneur, et des reportages à Rennes, à Grenoble ou à Montpellier.

Pour consulter le webzine, cliquez ici

Le chiffre

32 037 cas de coqueluche ont été recensés au premier trimestre 2023 au niveau européen contre 25 130 pour toute l’année 2023, révèle le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies . La résurgence de la coqueluche n’épargne par la France. Santé Publique France rappelle les mesures de prévention essentielles à mettre en place pour enrayer cette épidémie.

 

 
Les actus

Rencontre entre les Ordres français et allemands

Le mardi 18 juin, une réunion bilatérale entre le Cnom et l’Association médicale allemande a eu lieu dans les locaux du Cnom, à Paris. Des échanges autour de sujets d’actualité, tels que les résultats des élections européennes ou les derniers développements législatifs sur la fin de vie étaient à l’ordre du jour. La coopération entre les Ordres au sein d’instances européennes et internationales comme l’Association médicale mondiale ou le Comité permanent des médecins européens ont été au centre des discussions. Pour en savoir plus sur l’Ordre fédéral des médecins en Allemagne, qui fédère 17 ordres des médecins régionaux, consultez la présentation réalisée dans l’un de nos derniers bulletins.

Distilbène : un guide pratique pour la prise en charge 

Œstrogène de synthèse prescrit à 200 000 femmes enceintes entre 1948 et 1977 pour prévenir notamment les fausses couches, le Distilbène (DES) s’est avéré être inutile, et même dangereux pour ces femmes et leurs fœtus. Des effets indésirables graves ont par la suite été observés chez les filles exposées in utero, comme des cancers, de l’infertilité ou des complications de grossesse. Aujourd’hui, trois générations sont concernées par les conséquences de l’exposition au DES pendant la grossesse. Le Réseau DES France, qui milite pour une meilleure prise en charge des « familles DES », publie un guide à l’attention des professionnels de santé , afin de mieux faire connaître cette maladie rare et de faciliter sa prise en charge. 

Répondez à un questionnaire sur les maisons des adolescents

La Cour des comptes et les chambres régionales des comptes réalisent actuellement une enquête nationale sur les maisons des adolescents. Dans ce cadre, elles proposent aux médecins généralistes, pédiatres et psychiatres de compléter un questionnaire, de manière totalement anonyme. Ce dernier a pour but de savoir s’ils ont été en lien avec une maison des adolescents et de recueillir leur regard professionnel sur ce dispositif. Le temps de réponse est estimé à moins de 5 minutes. Pour répondre au questionnaire, cliquez ici.

En image

Médecin de campagne : une autre approche de la médecine

Notre dernier reportage vidéo vous propose de suivre le Dr Pauline Acquier, fervente défenseure de la médecine de campagne dont elle vante les vertus de proximité et de polyvalence. Retrouvez son portrait en images.
 

 

À découvrir

La restitution de notre débat d’avril



Le 10 avril, le Cnom organisait une nouvelle session de ses « Débats de l’Ordre » sur le thème du système de santé de demain. Retrouvez ici le compte-rendu écrit de cette journée riche en échanges. Pour revivre en images les quatre tables rondes, rendez-vous sur notre chaîne Youtube.

 

Demain quel système de santé ?

Temps de lecture : 0 mn
Débat de l'Ordre des médecins
Compte rendu du débat organisé par le Cnom le 10 avril 2024 : Demain quel système de santé ?

Médecins n°91

Temps de lecture : 1 mn
Bulletin de l'Ordre des médecins n°91
Lire le bulletin de l'Ordre national des médecins de mai - juin 2024
Au sommaire de ce numéro :

L'éditorial du président
Présentation des comptes 2023
L'Ordre national des médecins en Espagne
Les JOP côté médecins : Interview du Dr Philippe Le Van
Le point sur la permanence des soins ambulatoires
Reportage dans le Tarn : A la campagne, une autre approche de la médecine
Réflexions : Lutter contre les dérives sectaires dans le domaine de la santé
Dossier : Penser le futur de notre système de santé
Faut-il accepter des stagiaires du secondaire au sein de son cabinet ?
L'entraide confraternelle, essentielle mais souvent méconnue
Résultats des élections dans les conseils départementaux
Le portrait du Dr Benoit Berthe : " Le regard sur la psychiatrie change doucement"
 



Télécharger le bulletin au format pdf







Voir le reportage vidéo associé à l'article de la page 12


Voir la vidéo pédagogique sur le code de déontologie médicale
 

Conditions d’accès à l’aide à mourir

Temps de lecture : 1 mn
Conditions d’accès à l’aide à mourir
L’Ordre des médecins rappelle sa position sur les conditions d’accès à l’aide à mourir
A l’heure de l’examen en séance publique de l’article 6 du texte relatif à l'accompagnement des malades et de la fin de vie, le Conseil national de l’Ordre des médecins souhaite rappeler sa position constante au sujet des conditions d’accès à l’aide à mourir.

La Commission spéciale sur la fin de vie a remplacé la formulation “être atteinte d’une affection grave et incurable engageant son pronostic vital à court ou moyen terme” inscrite dans le projet initial du Gouvernement par “être atteinte d’une affection grave et incurable en phase avancée ou terminale”.

Le texte amendé par la Commission spéciale introduit une notion qui ne permet pas au médecin de déterminer le stade à partir duquel le patient va pouvoir formuler une demande d’aide à mourir, et rend plus difficile l’appréciation de ce critère d’éligibilité ainsi élargi. Il faut que la loi soit claire et précise afin d’éviter toute confusion.

 

La santé des patients en danger

Temps de lecture : 1 mn
Grèves des pharmaciens
Le Conseil national de l’Ordre des médecins exprime son soutien à la grève des pharmaciens qui s’est déroulée le 30 mai dernier.

Les pharmaciens connaissent des difficultés mettant aujourd’hui en danger la santé des patients.

L’Ordre souhaite alerter les pouvoirs publics sur la persistance de la pénurie de médicaments, qui est dommageable tant aux professionnels qu’aux patients, qui sont les premiers pénalisés.

Il est nécessaire que les fournisseurs de médicaments n’en délaissent pas certains au profit d’autres, sous prétexte qu’ils seraient plus lucratifs. Une telle atrophie de l’offre n’est plus possible quand la demande de médicaments est telle qu’on la connaît aujourd’hui.

 

Newsletter de mai 2024

Temps de lecture : 5 mn
Newsletter de l'Ordre des médecins de mai 2024
Au sommaire : bilan de la PDSA 2023, la grève du secteur hospitalier privé, le numéro vert de l'entraide ordinale, la vidéo du code de déontologie...

À la une

La permanence des soins ambulatoires en 2023


Le Conseil national de l’Ordre des médecins (Cnom) publie son enquête annuelle sur la permanence des soins ambulatoires (PDSA) en 2023.

Grâce à l’implication des médecins, une hausse de leur participation au dispositif de PDSA et une amélioration de la couverture territoriale, atteignant 97% durant les week-ends et jours fériés, a été observée cette année. En nuit profonde, la prise en charge a souvent besoin d’être assurée par l’aide médicale d’urgence ; toutefois la PDSA continue à être assurée dans 27% des territoires dans ces tranches horaires.

Plusieurs tendances persistent, telles que l'essor de 17% des sites dédiés à la PDSA, la réduction du nombre de secteurs par le biais de re-sectorisations, et la confirmation encourageante de la baisse de l'âge moyen des médecins effecteurs. Si la PDSA est assurée à 88% par des médecins libéraux installés, on constate une hausse de 22,3%, notamment en régulation, de la participation des médecins salariés, retraités et remplaçants.

Les Conseils départementaux de l’Ordre des médecins ont confirmé en 2023 les demandes de pistes d'améliorations déjà identifiées les années précédentes : des mesures financières incitatives, la mise à disposition de moyens de transport dédiés pour les patients non-mobilisables, l'organisation spécifique de la prise en charge des résidents en EHPAD, des campagnes de sensibilisation du public ainsi qu'une information et un accompagnement auprès des médecins.

Lire notre communiqué de presse, et l'intégralité de l'enquête 2023.

Le chiffre

Moins d’une femme sur deux a participé au programme national de dépistage organisé du cancer du sein en 2023, révèle une enquête de Santé Publique France. Chaque année, 60 000 nouveaux cas sont détectés et 12 000 décès sont répertoriés. Une plus grande participation au dépistage organisé permettrait la prise en charge du cancer à un stade précoce, et augmenterait les chances de rémission.

 

Les actus

L’Ordre alerte quant à l’arrêt à venir des cliniques privées


À partir du 3 juin prochain, les établissements hospitaliers privés représentés par la Fédération hospitalière privée (FHP) débutent une grève importante, affectant de manière notable leur fonctionnement. Ils demandent une hausse des tarifs hospitaliers, qu’ils jugent insuffisants, notamment dans un contexte d’inflation importante.
Le système de santé français a cette particularité, qui est aussi et surtout une richesse, d’être composé du secteur public et du secteur privé. Ils sont complémentaires et chacun est essentiel pour garantir un accès aux soins à toutes et tous.
L’offre de soin dans certains territoires ne peut supporter les moindres fermetures d’établissements, publics ou privés. Nous demandons ainsi à l’hospitalisation privée de s’assurer que la prise en charge des urgences sera effectuée, cela est important d’un point de vue déontologique.
Le Conseil national de l’Ordre des médecins souhaite aujourd’hui rappeler qu’il représente l'ensemble des médecins de notre pays, peu importe leur mode d’exercice, qu’ils soient hospitaliers, libéraux, du service public et salariés. Tous ont leur place et le droit d’exercer leur profession dans de bonnes conditions, dans l'intérêt du patient.
Nous souhaitons ainsi alerter les pouvoirs publics sur cette grève et les conséquences qu’elle pourrait entraîner, si les demandes, légitimes, des professionnels ne sont pas entendues.

Lire l'intégralité du communiqué.
 

Violences : les Ordres réaffirment leur soutien aux professionnels

Alors que la proposition de loi visant à renforcer la sécurité des professionnels de santé va être examinée par le Sénat, six Ordres tiennent à rappeler leur vif et pérenne engagement au service de la sécurité de tous les professionnels de santé inscrits à leur tableau.
La sécurité des soins dispensés au patient requiert un impératif sentiment de sécurité chez les professionnels qui les dispensent. Défendre ce sentiment de sécurité, alors que les violences à l’égard des soignants ne cessent de progresser, en soutenant chaque professionnel et en portant plainte en leur nom si cela est nécessaire, entre pleinement dans la mission d’entraide confiée par le législateur aux conseils de l’ordre qui doivent accompagner la mise en place d’une politique pénale à la hauteur des enjeux.

Lire le communiqué commun des Ordres.
 

0800 288 038 : le numéro vert de l’Entraide

Le service Entraide de l'Ordre des médecins apporte un soutien confraternel aux médecins en difficulté ou à leur famille. Les médecins et les internes en difficulté peuvent composer le 0800 288 038, un numéro vert gratuit et anonyme, mis à leur disposition par le Cnom, dans le respect de la confidentialité et du secret médical.
Lorsque le médecin appelle entre 9 h et 19 h du lundi au samedi, hors jours fériés,  une des assistantes sociales lui répond. Elle l’oriente vers l’interlocuteur le plus à même de l’aider. En dehors de ces horaires, la ligne est toujours basculée vers le service des psychologues, accessible 24 h/24.
 

Lutte contre les dérives sectaires : la loi publiée

La loi visant à renforcer la lutte contre les dérives sectaires et à améliorer l’accompagnement des victimes a été publiée au Journal officiel du 11 mai 2024 . Cette loi institue notamment un délit de provocation à l’abandon ou à l’abstention de suivre un traitement médical, censé lutter plus efficacement contre les pertes de chance et mises en danger des patients. Une nouvelle circonstance aggravante concernant l’exercice illégal de la profession de médecin, ainsi que celle de plusieurs professions de santé, figure également dans la loi, de même une nouvelle dérogation au secret médical est créée.
 

En image


Le code de déontologie médicale s'applique à tous les médecins exerçant en France. L'Ordre des médecins actualise le code et ses commentaires. Pour tout comprendre sur cette mission ordinale, visionnez notre dernière vidéo.
 

À découvrir

« Les JOP côté médecins », notre rubrique spéciale

À l’occasion des Jeux de Paris 2024, l’Ordre des médecins met en avant dans son bulletin des sujets liés à la pratique sportive : interviews, portraits, décryptage, etc. Retrouvez-les dans notre rubrique spéciale, « Les JOP côté médecins » . Dans le prochain bulletin, vous découvrirez l’interview du Dr Philippe Le Van, directeur médical de Paris 2024.




 

Grève des établissements hospitaliers privés

Temps de lecture : 2 mn
Grève des établissements hospitaliers privés
Réviser les tarifs hospitaliers pour prévenir la paralysie des soins due à la grève des cliniques privées.
Le Conseil de l’Ordre des médecins rappelle l’importance d’un système de santé fonctionnant sur ses deux piliers, public et privé, et alerte quant à l’arrêt  inédit de l’activité des cliniques privées prévu dans quelques semaines.

A partir du 3 juin prochain, les établissements hospitaliers privés représentés par la Fédération hospitalière privée (FHP) débutent une grève importante, affectant de manière notable leur fonctionnement. Ils demandent une hausse des tarifs hospitaliers, qu’ils jugent insuffisants, notamment dans un contexte d’inflation importante.

Le système de santé français a cette particularité, qui est aussi et surtout une richesse, d’être composé du secteur public et du secteur privé. Ils sont complémentaires et chacun est essentiel pour garantir un accès aux soins à toutes et tous. Sans l’exercice d’une partie des professionnels de santé de l’un des secteurs, c’est l'ensemble du système de santé qui est affecté, et ainsi la bonne prise en charge de nos concitoyens.

L’offre de soin dans certains territoires ne peut supporter les moindres fermetures d’établissements, publics ou privés. Nous demandons ainsi à l’hospitalisation privée de s’assurer que la prise en charge des urgences sera effectuée, cela est important d’un point de vue déontologique.

Le Conseil national de l’Ordre des médecins souhaite aujourd’hui rappeler qu’il représente l'ensemble des médecins de notre pays, peu importe leur mode d’exercice, qu’ils soient hospitaliers, libéraux, du service public et salariés. Tous ont leur place et le droit d’exercer leur profession dans de bonnes conditions, dans l'intérêt du patient.

Nous souhaitons ainsi alerter les pouvoirs publics sur cette grève et les conséquences qu’elle pourrait entraîner, si les demandes, légitimes, des professionnels ne sont pas entendues. Chaque branche de la santé doit pouvoir garantir à ses patients une qualité optimale de soins, ce qui n’est pas possible si la contrainte budgétaire est trop importante et inadaptée.

Le Conseil national de l’Ordre des médecins reste attaché à la défense d’un système de soins fonctionnant sur ces deux piliers, qu’il juge indissociables, complémentaires, et qui doivent rester équilibrés.

Sécurité des professionnels de santé

Temps de lecture : 2 mn
Sécurité des professionnels de santé - communiqué des ordres
Six ordres des professions de santé rappellent leur rôle de soutien auprès des professionnels victimes de violences.
La proposition de loi visant à renforcer la sécurité des professionnels de santé, adoptée en première lecture à l’Assemblée nationale en mars dernier, va à présent être examinée par le Sénat.

Parce qu’il concrétise plusieurs mesures du plan présenté en septembre 2023 par le ministère en charge de la santé salué unanimement, les sept Ordres des professions de santé suivent avec un grand intérêt l’évolution de ce texte devant le Parlement.

Dans ce contexte, six Ordres tiennent à rappeler leur vif et pérenne engagement au service de la sécurité de tous les professionnels de santé inscrits à leur tableau et ce, quel que soit leur statut : libéral ou salarié.

Par l’existence d’observatoires, les ordres sont informés sans délai des violences subies au quotidien par ces professionnels et, en leur sein, un référent violences est chargé d’apporter l’appui nécessaire.

Les Conseils des ordres, nationaux ou locaux, sont également amenés à se constituer partie civile en cas de menaces ou de violences commises en raison de l’appartenance à une profession de santé.

La sécurité des soins dispensés au patient requiert un impératif sentiment de sécurité chez les professionnels qui les dispensent.

Défendre ce sentiment de sécurité, alors que les violences à l’égard des soignants ne cessent de progresser, en soutenant chaque professionnel et en portant plainte en leur nom si cela est nécessaire, entre pleinement dans la mission d’entraide confiée par le législateur aux conseils de l’ordre qui doivent accompagner la mise en place d’une politique pénale à la hauteur des enjeux.

 

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