Rapport sur le VIH et les hépatites
Journée de mobilisation pour l’hôpital public

L’Ordre des médecins, qui alerte sans relâche les pouvoirs publics sur la fragilité de notre système de santé, comprend ce désarroi et le partage. Il tient à rappeler l’attachement de nos concitoyens à la solidarité et à leur hôpital public, et à saluer l’engagement quotidien de tous les médecins et professionnels de santé qui le portent à bout de bras depuis de nombreuses années.
L’Ordre tient également à réaffirmer que les difficultés que rencontre depuis longtemps l’hôpital public, et qui se cristallisent aujourd’hui, ne pourront être réglées sans briser les frontières trop longtemps hermétiques entre l’hôpital et le monde libéral et entre les différents professionnels de santé. L’Ordre attend dès lors que les nécessaires annonces à venir sur l’hôpital, et la mise en œuvre de la réforme « Ma Santé 2022 » portée par Agnès Buzyn et ses adaptations, répondent aux défis auxquels nous faisons face, pour qu’enfin tous les acteurs de la santé puissent garantir ensemble l’accès aux soins des Français.
Les annonces devront être à la hauteur des enjeux et des attentes de la population et des professionnels de santé.
Nouveau webzine sur l'empathie dans la relation patient-médecin

Comment réinventer une relation médecin-patient fondée sur le partenariat et l’empathie ?
Réflexions et témoignages dans ce
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Annonces sur l’immigration en matière de santé

Le Conseil national de l’Ordre des médecins a pris connaissance des annonces du Gouvernement sur l’immigration, en matière de santé. Il tient à alerter les pouvoirs publics sur les conséquences de l’instauration d’un délai de carence de trois mois pour pouvoir bénéficier de la Protection universelle maladie (PUMa).
En 1945 fut consacré aux étrangers irréguliers un même accès à la couverture santé qu’aux Français et étrangers en situation régulière, couverture qui n’a jamais été définitivement remise en cause depuis. Fidèle à sa mission d’assurer le respect de l’éthique et de la déontologie, l’Ordre des médecins ne peut envisager qu’une fraction de la population soit à présent discriminée dans son droit à être soigné, sur le sol français. En effet, les demandeurs d’asile devront désormais attendre trois mois avant d’accéder à une prise en charge des frais de santé. Quelles solutions leur seront proposées pour se soigner durant cet intervalle ?
L’institution ordinale ne peut que mettre en garde sur les risques d’une telle décision en matière de santé individuelle pour cette population, mais aussi en matière de santé publique à l’échelle nationale. Cette annonce interroge également le principe de solidarité qui est le fondement même de notre pays et de notre système de santé.
Alors que l’hôpital vit une crise sans précédent, il serait par ailleurs incompréhensible d’orienter des patients supplémentaires vers des services d’urgence déjà surchargés.
Les médecins – qui ont fait le serment de protéger toutes les personnes, sans aucune discrimination, si elles sont affaiblies, vulnérables ou menacées dans leur intégrité ou leur dignité – ont besoin d’explications. Seront-ils contraints, demain, de refuser de soigner cette population ?
Préoccupé par cette situation, le CNOM demande au Gouvernement une clarification sur les conséquences à venir dans l’exercice professionnel des médecins, et pour la sécurité sanitaire de toute personne vivant sur notre territoire.
Le refus de soins
Newsletter d'octobre 2019

À la une
Ma Santé 2022 : quel hôpital demain ?
Le débat « Ma Santé 2022 : quel hôpital demain ? » a rassemblé l’ensemble des acteurs liés à l’hôpital le 15 octobre, dans les locaux du Conseil national de l’Ordre des médecins (Cnom). Crise des urgences qui se cristallise, refonte de la carte hospitalière, création d’hôpitaux de proximité... L’hôpital est plus que jamais au cœur de l’actualité et des préoccupations des français. « Il est nécessaire que dans le cadre de ses missions, l’Ordre donne la parole à l’hôpital, à ses acteurs, aux soignants de l’intérieur et de l’extérieur de l’hôpital, a introduit le Dr Patrick Bouet, président du Cnom. Le temps est venu d’éclairer nos interlocuteurs par des propositions. Les réponses attendues par la profession et la population naîtront de la qualité de ces propositions. »Un constat unanime
« L’hôpital est une illustration douloureuse de l’impasse structurelle, voire idéologique, dans lequel se retrouve le système de santé », ajoute le Dr Bouet. Constat partagé par les interlocuteurs présents. Mais quelles pistes pour lui redonner de l’air, le réformer ? Renforcer son attractivité auprès des médecins, et surtout des jeunes ? Les différents intervenants ont échangé et croisé leurs propositions : renforcer le rôle et la responsabilité des Commissions médicales d’établissements (CME), remettre les médecins au cœur du système, opérer une revalorisation intellectuelle et financière, garantir la formation continue et le maintien de compétence des praticiens tout au long de leur carrière... Des échanges, François Simon, président de la section Exercice professionnel du Cnom retient quatre axes majeurs, nécessaires pour construire l’hôpital de demain : redonner du temps médical, instaurer une gouvernance réellement partagée, lutter contre les inégalités territoriales et améliorer la coordination ville – hôpital.
Etaient présents pour débattre et partager leur vision et leur expérience Maurice Bensoussan (président de l'URPS Occitanie), Rachel Bocher (présidente de l’INPH), Lamine Gharbi (président de la FHP), Thierry Godeau (président de la conférence nationale des présidents de CME), Laurent Heyer (président du CNP AR, représentant APH France), Thomas Le Ludec (directeur du CHU de Montpellier, membre du bureau de la Conférence des Directeurs Généraux de CHU), Thomas Mesnier (député de Charente), Antoine Perrin (directeur général de la FEHAP), et Zaynab Riet, déléguée générale de la FHF.
Pour vivre ou revivre l’ensemble du débat,
Le chiffre du mois
27,5% des postes de praticiens hospitaliers sont vacants en France. Selon les chiffres duActus
Fin du droit au titre actuel d’homéopathe
Essais cliniques menés sans autorisation : le Cnom porte plainte
Protection de l’enfance : l’État dévoile sa stratégie
Adrien Taquet, le Secrétaire d’état auprès de la ministre de la Santé a présenté ce mois-ci laÀ découvrir
Démographie des médecins généralistes en Haute-Garonne : une enquête du Cdom 31
Le de l’Ordre des médecins, présidé par le Pr Stéphane Oustric, a pris l’initiative de réaliser, au printemps 2019, une nouvelle enquête démographique auprès des médecins généralistes du département. Réalisée en partenariat avec l’URPS, l’ARS et la CPAM, elle représente un instantané, à forte valeur ajoutée. Le but principal de cette enquête est de répondre aux besoins des patients tout en améliorant les conditions d’exercice des médecins. Plus du tiers (35%) des médecins généralistes ont participé, en répondant au questionnaire transmis.
En images
Retrouvez la vidéo du débat organisé par le Conseil national de l’Ordre des médecins le 15 octobre : « Ma Santé 2022 : quel hôpital demain ? »En veille
Le PLFSS 2020 en discussion à l’Assemblée
Mardi 22 octobre, le projet de loi de financement de la Sécurité sociale 2020 (PLFSS) arrive en séance publique àUn comité de pilotage contre les pénuries de médicaments en France
Pour remédier au problème de rupture de stock des médicaments, la ministre de la Santé a installé le 23 septembre unLa plupart des conflits qui naissent entre médecins peuvent être concernés par cette procédure :
- Divergences d’interprétation des contrats ;
- Séparation d’associés ;
- Litiges financiers entre associés…
Attention l’arbitrage ne convient pas au règlement des conflits d’ordre strictement déontologique.
Pour lire les documents suivants
- La procédure d’arbitrage
- Le règlement d’arbitrage
- L’organigramme de la Chambre nationale d’arbitrage et la liste des arbitres
- Lexique
- "Un mode plus simple de règlement des contentieux médicaux" - article de Pierre Borra, président honoraire de la Cour d'Appel de Paris

Une procédure simplifiée
Ce décret modifie et simplifie la procédure d’exercice en multisite. D’un régime d’autorisation dans un délai de trois mois, elle passe à un régime déclaratif avec droit d’opposition dans un délai de deux mois. Le médecin ou la société d’exercice (SCP ou SEL) qui souhaite exercer son activité professionnelle sur un site distinct de sa résidence professionnelle habituelle doit remplir une déclaration préalable d’ouverture d’un lieu d’exercice distinct. Pour rappel, toute activité sur ce nouveau site, quelle qu’en soit la nature (consultations, interventions chirurgicales, explorations, expertises…) et le mode d’exercice (salarié ou libéral), doit faire l’objet d’une déclaration préalable à son ouverture.Mode d’emploi
Désormais, pour exercer sur un lieu supplémentaire, le médecin ou la société d’exercice (SCP ou SEL) doit adresser, au plus tard deux mois avant la date prévisionnelle de début d’activité, sa déclaration au conseil départemental où se situe l’activité envisagée. Il doit l’accompagner de toutes les informations qu’il juge utiles à son examen, en explicitant tout particulièrement les dispositions prises pour assurer la qualité, la sécurité et la continuité des soins sur chaque site.Pour apprécier si ces critères sont réunis, des informations doivent figurer sur la déclaration : la nature de l’activité envisagée (consultation et/ou intervention), l’installation (locaux, prise de rendez-vous, secrétariat, moyens en personnel et matériel disponible), le type de matériel existant ou prévu, le temps hebdomadaire consacré sur le site d’exercice habituel ainsi que sur les autres sites d’exercice et les dispositions prises pour assurer la continuité des soins.
Le critère de l’offre de soins a été supprimé, permettant de sécuriser l’exercice en multisite. Dans le dispositif, aujourd’hui révolu, la majorité des contestations d’autorisation provenait d’hôpitaux qui estimaient pouvoir répondre aux besoins sanitaires de la population. Déclaration au conseil départemental
La déclaration doit être transmise au conseil départemental par tout moyen permettant de certifier la date de réception. Il peut s’agir d’une lettre recommandée avec accusé de réception ou de la déclaration remplie en ligne via la SVE.
Deux mois pour examen
Une fois que le conseil départemental accuse réception de la déclaration préalable, il dispose de deux mois pour l’examiner et faire connaître au médecin ou à la société d’exercice son éventuelle opposition. Pendant ce laps de temps, l’activité sur le lieu souhaité ne peut pas débuter.Le conseil départemental doit s’assurer de plusieurs aspects : l’activité sur tous les sites doit répondre aux obligations de qualité, sécurité et continuité des soins et l’installation ne doit pas être contraire à des dispositions législatives ou réglementaires.
Attestation ou notification
À l’issue des deux mois, le médecin ou la société pourra débuter son activité sur le nouveau site. Le conseil départemental lui adressera une simple attestation formalisant l’absence d’opposition.Recours devant le Conseil national
Les recours sont formés par le médecin ou la société d’exercice, ou par un tiers devant le Cnom. Le médecin ou la société d’exercice ayant fait la déclaration disposent d’un délai de deux mois à réception de la notification de la décision d’opposition pour saisir le Cnom.Concernant les tiers, ils ne pourront former un recours que sur la base des motifs tirés d’une méconnaissance des obligations de qualité, sécurité et continuité des soins ou des dispositions législatives et réglementaires. La référence à des critères liés à la concurrence n’est plus envisageable.

ANSM - DGS
Dans le cadre de son partenariat avec l'ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé) l'Ordre des médecins vous informe :
- : conduites à tenir dans un contexte de fortes tensions d’approvisionnement (ANSM - 18/04/2024)
- Difficultés d’approvisionnement en corticoïdes (prednisone et prednisolone) : l’ANSM publie une - 29/06/2023
- Information sur la situation de d'ISOCARD Solution sublinguale en flacon pulvérisateur 34009 329 127 4 2 : flacon pulvérisateur 20ml (aluminium verni) avec valve doseuse - 8 mars 2023 (pour les cardiologues et les généralistes)
- Divalcote (divalproate de sodium) : attention au risque d’erreur médicamenteuse en cas de substitution avec les génériques contenant du valproate de sodium - destinée aux psychiatres, neurologues, neuro-pédiatres, pharmaciens hospitaliers et officinaux - 10/01/2022
- Alcoolo-dépendance : posologiques du baclofène - ANSM - nov. 2021
- Nouvelles conditions de prescription et de délivrance des spécialités à base d'acétate de nomégestrol (Lutényl et génériques) et d'acétate de chlomadinone (Lutéran et génériques), liées au risque de méningiome -
- 02/07/2021 - Nouvelles conditions de prescription et de délivrance des spécialités à base de prégabaline (Lyrica et ses génériques) -
- 05/05/2021 - Traitement contre l’acné sévère avec isotrétinoïne orale : l’ANSM informe d’un risque potentiel de troubles neuro-développementaux en cas d’exposition pendant la grossesse - 18/02/2021 -
- Médicaments antalgiques contenant du Tramadol par voie orale (seul ou en association) - Limitation de la durée maximale de prescription à 12 semaines - - ANSM du 22/01/2021
- RAPPEL du lot N° DM0059 de Micropakine LP 500mg (valproate de sodium) - ANSM du 27/11/2020
- Arrêt de commercialisation de la forme gélule de LYNPARZA® (olaparib) à compter du 31 mars 2021 - Information destinée aux médecins spécialistes en oncologie et aux médecins compétents en cancérologie - - 09/10/2020
-
CYNOMEL 0,025 mg, comprimé sécable (traitement substitutif de certaines hypothyroïdies notamment) - Tensions d’approvisionnement - 04/08/2020 -
- Alcoolo-dépendance : arrivée de BACLOCUR et fin de la recommandation temporaire d’utilisation (RTU) pour les autres spécialités à base de baclofène - - 25/05/2020
- Arrêt de distribution de EUTHYROX® - Document d’accompagnement à la substitution du traitement à base de lévothyroxine - à l’attention des patients et des professionnels de santé - 19/05/2020
- à base de lévothyroxine disponibles en France - mai 2020
- Médicaments antitussifs à base de pholcodine et risque de réaction allergique aux curares dans le contexte de l’épidémie de COVID-19 - - 17/04/2020
-
Acétate de cyprotérone (Androcur, Diane 35, et génériques) et vasoconstricteurs (pseudoéphédrine) : retour d’information sur le PRAC de février 2020 -
- 11/03/2020 - sur les risques liés aux vasoconstricteurs - 30/01/2020
-
Suspension de l’autorisation de mise sur le marché, en raison d'un risque potentiel de cancer de la peau, du médicament Picato gel (mébutate d’ingénol).
(ANSM - 27/01/2020) -
Rupture de stock prolongée des spécialités Spironolactone Altizide 25 mg/15 mg (Aldactazine et certains génériques) : attention aux modifications de traitement -
du 02/12/2019 (médicaments diurétiques utilisés pour traiter l’hypertension artérielle et les œdèmes d’origine rénale, cardiaque et hépatique)
-
Ruptures de stocks pour les spécialités
(ulipristal) et (lévonorgestrel), dites pilules du lendemain. (ANSM - 04/11/2019)
L'ANSM a rapidement pris l'avis des sociétés savantes pour définir les recommandations à diffuser. Ainsi pendant la période de rupture, il est recommandé :- de ne pas prescrire ou dispenser EllaOne ou Norlevo hors situation d’urgence ;
- de réserver les stocks disponibles d’EllaOne, aux situations indispensables (contraception d’urgence au-delà de 72 h où l’efficacité du lévonorgestrel n’est plus assurée) de manière à pouvoir répondre au besoin des femmes qui se présentent le 4ème ou 5ème jour suivant un rapport sexuel non ou mal protégé ;
- de recourir aux spécialités génériques à base de lévonorgestrel 1.5 mg dans les autres situations.
CNS
picture_as_pdf du Conseil national du Sida et des hépatites virales et de l'ANRS sur la stratégie de lutte contre le VIH - déc 2023Information de la Direction générale de la santé du 3 mars 2022 :
modifiant l’arrêté du 7 octobre 1991 fixant la liste des substances de la liste I des substances vénéneuses à propriétés hypnotique et/ou anxiolytique dont la durée de prescription est réduite (Eszopiclone)Les autorités sanitaires souhaitent dissiper toutes inquiétudes des patients et des professionnels de santé concernant le risque de rupture d’importation d’Euthyrox en France : les importations temporaires en France des boîtes d'Euthyrox (ancienne formule de lévothyrox destinée au marché Russe) se poursuivent au rythme habituel. Les importations des boîtes destinées au marché Russe ne transitent pas vers la Russie, elles s'effectuent directement du site Merck Allemand vers la France.
Le portail de signalement
Le site a été créé pour renforcer la vigilance en matière de sécurité sanitaire et simplifier les démarches de signalement
Prévu par la loi de modernisation du système de santé, ce site permet aux professionnels et aux usagers de signaler en quelques clics aux autorités sanitaires tout événement indésirable ou tout effet inhabituel ayant un impact négatif sur la santé.
Coronavirus
Un dossier sur le coronavirus Covid-19, actualisé régulièrement en fonction des connaissances disponibles, est en ligne sur le site duMonkeypox
Informations pratiques relatives à la variole du singe ou variole simienne (maladie infectieuse virale rare due au virus Monkeypox)Fiche pratique - conduite à tenir
Fiche de synthèse « Variole du singe » à destination des professionnels de santé -
Protèses mammaires
Retrouvez le dossier concernant les implants mammaires sur leDispositif de stérilisation définitive
Dans le cadre du comité de suivi des femmes porteuses du dispositif ESSURE, mis en place par le Ministère des solidarités et de la santé, il a été convenu de mettre à disposition des femmes des documents d’information. Ces documents, élaborés en collaboration avec l’association de patientes RESIST et le Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français (CNGOF) ont été conçus pour répondre aux questions que les femmes peuvent se poser au sujet du dispositif ESSURE, notamment lorsqu’elles présentent des symptômes pouvant être en lien avec ce dispositif.
Consulter les fiches d'information sur le .
Vapotage et pneumopathies
Organisation du recueil des signalements des atteintes pulmonaires graves en lien avec le vapotage
Une alerte sanitaire concernant une épidémie de pneumopathies sévères chez des vapoteurs est en cours aux Etats-Unis (au 01/10/2019, 1080 cas dont 18 décès ont été rapportés). A ce jour, en France, il n’a pas été détecté d’épidémie.Le Ministère des Solidarités et de la Santé en lien avec Santé publique France, les agences sanitaires, les partenaires du réseau de prévention des addictions et les sociétés savantes de médecine d’urgence, de réanimation et de pneumologie met en place un dispositif de signalement et d’investigation des cas de pneumopathie sévère chez des utilisateurs de dispositifs de vapotage.
Les médecins peuvent effectuer le signalement des cas sur le
Des informations actualisées sur l’alerte américaine sont disponibles sur le site
De plus, le dispositif de surveillance active des pneumopathies sévères en lien avec le vapotage est détaillé sur le site de
Gaz hilarant
Augmentation des cas graves en lien avec l’usage détourné de protoxyde d’azote (« gaz hilarant ») : les autorités sanitaires alertent sur les dangers de cette pratique.: "Usage détourné du protoxyde d’azote : aide au diagnostic et à la prise en charge d’une intoxication" - 18 janvier 2023
Essais cliniques sans autorisation : plainte du Cnom

Il s’agit de trois membres du directoire et de cinq membres du comité consultatif du Fonds, acteurs directs ou ayant eu selon toute vraisemblance à connaître des essais cliniques illégaux sur des patients atteints notamment des maladies de Parkinson et d’Alzheimer.
M. Jean-Bernard Fourtillan n’étant pas médecin, il fait par conséquent déjà l’objet d’une plainte pour exercice illégal de la médecine portée en juin 2019 par le Conseil départemental de la Vienne de l’Ordre des médecins.
Le Conseil national de l’Ordre des médecins a par ailleurs pris la décision de se constituer partie civile dans le volet pénal de cette affaire.
Cela lui permettra d’avoir accès au dossier et pleinement connaissance du développement de cette affaire. Le CNOM se réserve le droit, en fonction des avancées de l’enquête, d’entamer de nouvelles procédures disciplinaires à l’encontre de médecins dont il s’avérerait qu’ils seraient liés directement ou indirectement à ces essais cliniques.